1. L'importun 9


    Datte: 16/05/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Accent, Source: Hds

    ... de ton hypothèse. La mienne serait que ton amant et son copain M’ Balé sont montés dans ta voiture…
    
    - Tu ne retiens que ton hypothèse à charge. Il fallait dire tout de suite que tu m’as déjà remplacée par la jolie blonde qui entre ici sans frapper. Tu aimes les femmes plus jeunes, tu ne veux plus de ta vieille épouse et tous les arguments sont bons pour t’en défaire. Tu m’accuses injustement d’entretenir une liaison avec Sylvain.
    
    – Si c’était vrai, quelle gourmande a commencé à goûter à la jeunesse. Je constate que Sylvain n’est pas dans cette ville par miracle. J’en tire la conclusion logique que, l’état d’ébriété passé, tu vis avec lui. Le grand noir qui est en bas avec lui serait-il le complément idéal d’un trio auquel tu aspirais ?
    
    – J’aurais aimé ne pas t’infliger le récit de la suite de mon aventure après ton départ. Tant pis, tu sauras tout, dans le détail. Tant pis tu pourras me mépriser encore plus. Mais tu pourras aussi apprendre les conséquences de ton abandon de poste. Tu m’as abandonnée, presque sans défense, le jour où j’étais la plus vulnérable. Tu t’es sauvé, tu ne t’es pas demandé ce qui m’arriverait, ce que « mon jeune amant » comme tu l’appelles, me réservait. Tu seras moins glorieux quand tu mesureras ta part de responsabilité dans le désastre.
    
    – Un désastre dont je serais responsable ? Tu veux m’étonner. Raconte. Attends, j’imagine la suite. Le samedi matin, très tard, éreintés par vos excès sexuels de la veille, vous vous êtes réveillés dans ...
    ... notre lit et vous avez aussitôt repris là où vous vous étiez endormis. Tu as plongé sur la queue molle, tu l’as prise en bouche, tu lui as rendu force et consistance grâce à une fellation savante et à une branlette pleine d’amour reconnaissant. Sylvain ressuscité s’est installé sur toi, t’a planté son engin dans le ventre, a longuement fait « hucoco » avant de te retourner pour calmer les démangeaisons impérieuses de ton cul. Un coup devant, un coup derrière. Il faut peu d’imagination pour deviner ces choses.
    
    – Trop d’imagination tue la vérité. J’&tais encore étalée sur le tapis du salon. Je me suis réveillée quand j’ai senti qu’on me léchait l’entrecuisse. Dans mon demi sommeil j’ai cru que tu étais rentré de ta promenade nocturne. Enfin tu me préparais et tu te préparais à jouer ton rôle de mari. Quelle erreur ! Deux mains ont tenu mes chevilles, m’ont fait effectuer un demi-tour rapide. J’étais à plat-ventre. Les mains ont soulevé mes hanches d’un coup sec. J’ai senti un sexe qui parcourait lentement ma fente puis la raie de mes fesses en plusieurs fois. Quand d’un coup brutal la chair dure m’a ouvert le sphincter, j’ai su que Sylvain était là. Toi, tu ne m’aurais pas enculée à sec.
    
    J’ai crié de douleur. Il a ri de son méchant tour. Rien n’aurait pu arrêter sa folie furieuse. Mon cul était à lui.
    
    – A moi seul, criait-il. Ton mari est foutu le camp, découragé par ma supériorité. Ne l’attends plus. Mais console-toi, tu seras ma princesse et, avec moi, tu apprendras ...
«1234...»