1. AU JARDIN D'EDEN


    Datte: 16/05/2018, Catégories: Mature, Hardcore, Partouze / Groupe Auteur: Jeannot94, Source: xHamster

    ... vas en souriant.
    
    Je ne suis pas plus étonnée que ça de cet élan de tendresse, je sais ces gens très fraternel.
    
    La soirée se passe bien. On discute, on se raconte des blagues, on rigole aux histoires qui deviennent de plus en plus salaces. Le bar se vide un peu. Il ne reste que six clients.
    
    Cela serait très banal s'ils n’étaient pas tous à nous observer, plus ou moins discrètement. Mais Richard me rassure quand il me dit qu’il n’habite pas très loin et qu’il les connait bien car ce sont des partenaires de pétanque.
    
    Le repas fini, le patron nous sert des cafés et un alcool de chez lui, puis va descendre son rideau de fer, comme s'il fermait. Interloquée, je demande discrètement à Richard le but de cette manœuvre puisqu’il y a encore des clients. Il m’explique qu’arriver une certaine heure, Omar, c’est son nom, ne veut plus de clients, et de plus ils peuvent fumer tranquille, ainsi, la police lui fou la paix.
    
    L’alcool est fort et me fait tousser, mais ne dit ont pas que c’est la première gorgée la plus difficile ?
    
    La tête me tourne un peu car le repas fut bien arrosé. Il est temps pour moi de refaire un séjour en « pièce de lecture ». La salle me semble immense, et bien qu’il n’en soit rien, j’ai l’impression de ne pas marcher droit. Ça me fait rire. Rire aussi quand au sortir des toilettes, après une courte lecture murale, je cogne la tête de Richard avec la porte que j’ouvre trop brutalement. Appuyée au lavabo, je rigole à le voir se frotter le front.
    
    « ...
    ... Ça te fait rire ça, hein coquine ! »
    
    D’un coup il enserre ma taille de ses bras. Mes mains sur ses épaules tentent de le repousser, mais l’endroit est trop exigu pour que je puisse me libérer. Je suis collée à lui. Mes seins écrasés, frottent sa poitrine à chacun de mes mouvements. Mes pointes qui se durcissent à ce traitement, trahissent mon émoi grandissant. Une chaleur malicieuse s’installe dans mon ventre. A ce moment, je sais qu’il a gagné, que je ne pourrai plus résister très longtemps, que mon corps lui appartient déjà. Je sens sa chaleur, son odeur, son…bâton, dur à travers son pantalon qui appuie sur ma jupe et la colle à ma fente. Mes mains poussent moins fort, mes reins se cambrent, mon ventre appuie et se frotte au sien. Je lâche prise. Sa bouche essaye de dévorer mes lèvres. Une de ses mains att**** mes cheveux et tire doucement ma tête en arrière. Ses baisers descendent dans mon cou, tandis que l’autre main a glissée sous mon chemisier et enroule ses doigts autour de mon sein droit. De petites convulsions parcourent tout mon être à chaque fois qu’il titille et pince mon téton gonflé de bonheur. Tout tourne autour de moi, je ferme les yeux un instant, mais c’est pire. Il est maintenant accroupi. Mes deux mains glissent dans ses cheveux, tandis que les siennes commencent à remonter lentement ma jupe alors qu’il embrasse mon triangle d’or par-dessus celle-ci. D’ici un instant il va découvrir que je ne porte rien dessous. Il fut déjà surpris quand sa main toucha ...
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