1. AU JARDIN D'EDEN


    Datte: 16/05/2018, Catégories: Mature, Hardcore, Partouze / Groupe Auteur: Jeannot94, Source: xHamster

    ... veulent monter à l’assaut de mon corps. Par une petite grimace, je fais comprendre à Pierre que j’aimerais qu’il vienne calmer le jeu. Mais au lieu de se lever et de venir me secourir, il me sourit et prend une liasse de billet que lui tend Richard, et s’évente avec en me regardant, les yeux brillant.
    
    "Une semaine avant…
    
    La nuit avec pierre avait été torride. Cet homme de vingt ans mon aîné savait me conduire à l’orgasme comme personne. Il avait compris l’importance du soin tout particulier qu’il fallait apporter à mes seins. Il avait compris que la qualité de notre rapport passait par là. Il avait surtout su développer un art de la caresse du mamelon, qui me conduisait tout droit vers des plaisirs intenses à chaque fois. Quand il sortit de la douche, il me fit un grand sourire et vint s’étendre près de moi. Nous aimons parler après l’amour pendant des heures entières. Ce soir là, notre conversation avait dérivée sur l’argent et sur ce qu’on serait capable de faire pour en avoir. Une question de Pierre, parmi bien d’autres fut. « Serais tu capable de coucher pour de l’argent ? » Je lui rétorquai que pour de l’argent peut être pas ou alors il ne faudrait pas qu’on me le donne directement. « Je ne suis pas une pute tout de même ! »..."
    
    Je ne suis pas une pute. Cette phrase me martèle le cerveau. J’ai peur de comprendre. Richard, les clients, le rideau de fer, l’argent. J’essaie de remettre ce puzzle dans l’ordre, un peu effarée, et me rend à l’évidence. Pierre vient de ...
    ... me vendre. Par vice ? Non je ne pense pas. Ce serait plutôt par défit.
    
    Les mains des clients deviennent de plus en plus fouineuses, et j’ai de plus en plus de mal à les repousser. Je ne parviens pas à réfléchir. Je panique, j’ai peur, et je me mets à crier « STOP !!! » en tapant du pied.
    
    Les clients surpris, arrêtent de me toucher et reculent d’un pas. Rouge de colère et de honte, je fixe Pierre dans les yeux. Lui, tranquillement, plis la liasse de billet et la met dans sa poche. Puis il écarte les mains d’un air de dire :
    
    « Alors ! »
    
    Alors ? Tu vas voir ce dont je suis capable mon gaillard. J’appelle Omar et lui demande de me resservir un verre d’alcool. Je l’avale cul sec, respire un grand coup, me tourne de coté et me met face aux clients. Je prends mon courage à deux mains et… commence à dégrafer mon chemisier, tout doucement, en commençant par le bouton du haut. Arrivé à la moitié, il s’ouvre légèrement et dévoile presque toute ma poitrine.
    
    Les clients ont les yeux exorbités et j’en vois même deux qui commencent à se toucher la queue au travers du pantalon. Encore deux boutons. Encore un. Puis, en partant de mon nombril, j’écarte le tissu et exhibe mes seins à ces messieurs. Je laisse mon chemisier glisser sur mes épaules et une fois enlevé je le jette à la figure de Pierre.
    
    Les deux types ont sorties leurs engins, et les autres se préparent à en faire autant.
    
    Je monte mes mains et commence à me caresser. Je me titille les tétons, et instantanément, ...
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