1. Une sublime tanguera (1)


    Datte: 16/05/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Swingme, Source: Xstory

    ... l’orgasme.
    
    Bien que la situation soit à la fois merveilleuse et insupportable, que chaque seconde soit à la fois sublime et supplice, nous n’avons rien tenté pour interrompre ces moments. Parfaits moments.
    
    La soirée a fait une pause, pour une animation, ou tout simplement était-ce nous qui avions besoin d’une pause ? Nous sommes redescendus sur la piste de pratique pour avoir un peu d’intimité. Elle était déserte à cette heure plus avancée. Quelques lumières intermittentes permettaient de s’y retrouver, je t’ai menée au centre de la piste. Ta main dans la mienne la serrait à intervalles réguliers, comme pour exprimer une foule de sentiments, comme si les mots étaient superflus.
    
    Je t’ai prise dans mes bras, mais différemment. Pas pour danser le tango. Je t’ai serrée fort, tu t’es offerte à mon étreinte, tes bras autour de mon cou. Mes mains parcouraient ton dos secoué de tremblements. Mes lèvres ont cherché les tiennes. Tu t’y es abandonnée avec délice. Ma langue s’est enroulée à la tienne, glissant parfaitement dans ta bouche gourmande.
    
    Enfin je me suis détaché, et t’ai conduite vers le fond de la piste, où trois portes "privé" s’offraient à nous. D’un regard entendu, nous les avons testées. Une seule n’était pas verrouillée. Elle donnait sur un bureau exigu mais coquet. Nous sommes entrés, avons fermé le loquet.
    
    L’excitation contenue dans nos deux corps surchauffés ne permit pas de préliminaires. Je t’ai plaquée violemment contre le mur, te coupant le ...
    ... souffle. Mes baisers ont ravagé ton cou, pendant que mes mains cherchaient fiévreusement les clés de ta tenue. Tes mains ont enserré ma nuque, griffé mon dos. Tes cuisses m’ont plaqué à toi. Ton corps s’est arc-bouté pour mieux coller au mien. Enfin ta robe a glissé au sol. Dieu tout puissant… Ton corps brûlant s’est offert à mes yeux ébahis et ravis, mais je ne me suis pas laissé le temps de l’admirer, devant mon désir impétueux de le dévorer de baisers. J’ai mangé tes seins, ton ventre, ton sexe, entendant à peine tes hoquets et tes gémissements de plaisir.
    
    Je me suis enfin relevé, tu as arraché ma chemise, ma ceinture, baissé mon pantalon et englouti mon sexe dressé dans ta bouche, déclenchant chez moi un râle d’homme préhistorique. Pendant que tes lèvres et ta langue parcouraient ma verge, mes testicules, le sillon menant à mon anus, que tes doigts frôlaient toutes les parties de mon anatomie, quand tes ongles ne s’y enfonçaient pas comme pour marquer leur territoire, j’ai empoigné tes cheveux.
    
    Je t’ai relevée brusquement, t’ai retournée et plaquée contre le mur, haletante. Je me suis accroupi derrière toi, ma langue détaillant le sillon de tes fesses jusqu’au plus intime de ta personne, pendant que mes doigts pénétraient ton sexe, et que de l’autre main je titillais ton clitoris en érection. Pantelante de plaisir, tu t’es cambrée pour venir à ma rencontre. Ma langue a achevé son trajet, et en cercles circulaires s’est frayé un chemin en toi. Tu n’as pu réprimer quelques ...