1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1320)


    Datte: 15/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... toujours un œil sur Sophie, contrôlant notamment son rythme cardiaque, son corset ayant un petit capteur me permettant de surveiller cela. Malgré l’arrêt dans cette fulgurante saillie et la certaine force qu’elle en retirait, je préférais toujours la surveiller, elle demeurait fragile. Chaque jour, elle s’alimentait à quatre pattes par une gamelle nourrissante matin, midi et soir. Sophie avait droit à se dégourdir les jambes durant 1h chaque matin et chaque soir dans le grand parc et faire ses besoins comme un animal étant toujours menée en laisse et surveillée par un garde... Le reste du temps, elle demeurait attachée, immobilisée, cadenassée et à la merci de tous ceux qui utilisaient son corps comme bon leurs semblaient. Outre son rythme cardiaque que je gardais constamment à l’œil depuis ma montre connectée à son capteur, je ne savais ce qui lui arrivait uniquement grâce aux rapports que Monsieur le Marquis recevait de Ses hommes de mains. Chaque jour, je luttais contre l’envie d’aller la voir moi-même et la tirer de cette immobilisation d’un état d’une extrême servitude dans laquelle je l’avais placé par le biais du Noble. Je ne doutais nullement que le Châtelain avait trié sur le volet les meilleurs cavaleurs, les plus endurants et vigoureux comme il le faisait pour tout Son Cheptel, mais je n’étais pas rassurée pour autant et je dois bien l’avouer, je culpabilisais de ce que je lui faisais subir...
    
    Ses premiers jours furent donc difficiles, Sophie dû se faire à ce ...
    ... que l’on attendait d’elle, sûrement. Puis Sophie se mit à gagner clé sur clé, souvent jours après jours. Mais plus elle gagnait de clé qui lui libéraient la respiration, plus ce qu’on lui imposait devenait dur. Elle n’avait toujours pas l’autorisation de jouir mais tout ce qu’ils lui faisaient subir, visait à la pousser à cette faute précise. La journée ils travaillaient au Château, gérant le Cheptel d’esclaves, ou le vaste Domaine forestier, ou l’intendance, laissant Sophie équipée de plug ou gode vibrants, machines à baisers, électrodes, la torturant de mille plaisirs sans cesse et gardant ainsi ses sens éveillés pour quand le soir ils reviendraient pour encore plus la besogner. Les nouvelles la concernant m’arrivaient au réveil, un esclave MDE me les apportant dans ma chambre en même temps que le petit déjeuner… Monsieur le Marquis m’avait logé dans une de Ses plus belles suites en son ancestrale Demeure et il me recevait avec tous les honneurs, avec toutes les qualités d’hôte que l’on pouvait attendre d’un homme possédant le véritable sens de l’hospitalité. Monsieur le Marquis m’avait également laissé tout pouvoir sur Ses esclaves et il ne m’envoyait que Ses favoris. Tous charmants et parfaitement dressés pour me satisfaire comme l’on pouvait s’y attendre, après tout n’était-il pas l’un des plus éminents Maitres au monde !
    
    Chaque soir, nous dinions ensemble Monsieur le Marquis et moi-même, servis par Ses esclaves dans lequel s’était glissée ma Caroline. Monsieur le ...