1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1320)


    Datte: 15/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... enjambées pour me saisir à la racine de ma queue de cheval. Il me tira sur la plateforme tout en m’extirpant un cri étouffé, j’avais l’impression qu’il allait m’arracher le haut du crâne. Il s’arrêta seulement pour relier l’anneau de mon collier à une tige qui partait du sol, et une fois le tout sécurisé par une multitude de solides cadenas, il me lâcha. Le relâchement de la tension qu’il exerçait sur mes cheveux eut comme effet de me transmettre une douleur égale à celle que j’avais lorsqu’il me trainait.
    
    - Tu vas rester là, à notre disposition, le temps que j’aurai décidé...
    
    Effectivement, accommodée ainsi en levrette, je ne pourrais pas résister. Le temps que je trouve un semblant d’équilibre pour ne pas glisser de la tige qui me retenait, écartant mes jambes au maximum que le permettait la chaine reliant mes chevilles, il revenait et commençait à m’asperger d’un liquide sentant l’eucalyptus. Je fermais les yeux et je retenais ma respiration le temps qu’il me vaporisait car déjà j’avais les yeux et le nez qui piquaient.
    
    - C’est pour éviter que tu ne sois attaquée par les moustiques. Tu as la peau si douce, ce serait dommage de l’abimer.
    
    Je cuisais encore de ma lenteur matinale qui se rappelait sur mon dos, mes cuisses et mon fessier. J’étais beaucoup trop dans l’inconnu pour être sereine. L’homme, le Maître tout puissant, comme il s’était présenté, passait et repassait Sa grande main baladeuse sur ma croupe, la fessant quelques fois. Je tremblais déjà comme ...
    ... une feuille, et je mouillais, c’était un mélange courant mais beaucoup plus appuyé qu’à l’accoutumé. Il y eu un petit moment de flottement qui prit fin quand un coup non retenu de paddle dur comme un chêne centenaire m’arriva sur un fessier déjà travaillé à la main. L’impulsion remonta de la fesse droite, au plug, au ventre et ainsi de suite jusqu’au collier me retenant au sol. Cette impulsion me faisait étrangler un cri ne sortant pas de ma bouche uniquement car la contracture de ma mâchoire vint se refermer sur ma langue. Je pleurais abondamment et je sentais le gout cuivré du sang dans ma bouche. J’avais la langue entaillée. Il se rendit compte de ce fait quand il remarqua que je n’avais pas hurlé. L’homme me contourna pour me prendre doucement la mâchoire, l’enserrant faiblement mais fermement pour me la faire ouvrir et constater. Apparemment rassuré et sans un mot, il me caressa délicatement une joue pour me positionner une espèce de mors. Puis il reprit de plus belle et ne marqua plus aucune interruption jusqu’à ce qu’il cesse après encore une trentaine de coups savamment dosés et placés sur mon cul rougi et très échauffé.
    
    Ma tolérance à la douleur avait été mise à mal, mes gémissements et couinements ne pouvaient pas lui échapper. J’imaginais la satisfaction sur son visage de savourer ma croupe rougie via mes fesses colorées en dégradées de rouge parcourant mes nombreuses marques. Je récupérais doucement, reprenant mon souffle lourdement à travers mon mors. L’homme ...
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