La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1320) - Histoires de Sexe

La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1320)

... laissa Sa main se saisir doucement de la chaine me fermant toujours, la remontant jusqu’au cadenas à la base de mes reins. Il en avait la clé et ne se priva pas de faire tomber cette serrure. La chaine tomba me faisant remarquer qu’elle m’avait un peu échauffée l’entrejambe d’une part, mais également que les deux solides m’emplissant depuis plusieurs heures ne demandaient qu’à sortir. Et ils furent exaucés. Le Maître tout puissant saisit le gode et le sortit lentement, il n’avait aucunement à forcer étant donné l’humidité entre mes cuisses. Déjà le sperme que je gardais au chaud coulait sur mes jambes. Ce fut immédiatement le tour du plug de sortir, mais il fut plus réticent si bien que l’homme décida de l’extraire en un rapide et énergique mouvement de retrait. Encore une fois, un petit déversement de sperme se fit. Il retira définitivement la chaine en enlevant le cadenas avant, le dernier à la retenir. J’étais trop perdue dans le flot d’informations lesquelles je ne devinais qu’au dernier moment la suite.

Puis le Dominant se saisissant subitement de mes hanches avec force pour m’attirer à Lui, et enfonça Son volumineux pieu bandé jusqu’à la garde dans mon cul endolori mais fort heureusement déjà très dilaté par le plug. Cette réalité permit une pénétration rapide, puissante, profonde via cette saillie animale sans concession. Mon feu intérieur était perdu entre bonheur d’être assouvie et douleur encore une fois prononcé. Sous Ses coups virils et puissants de bassin, ...

... j’avançais et reculais à un rythme effréné… Je me sentais bien remplie par le cul, profondément sodomisée et la douleur se transforma rapidement en plaisir très excitant, me faisant couler ma cyprine. Quand l’homme eut fini sa besogne il se retira et dans des râles d’un mâle en rut, il cracha en des jets saccadés Sa semence partout sur mes cuisses, mon cul et mes reins, en rajoutant un peu à celle séchée déjà présente. Cela avait été délicieux et si agréable d’avoir été prise comme une chienne à s’être fait prendre comme un simple objet, une chose que l’on dispose, j’étais devenue un simple trou à remplir pour vider les couilles... J’en étais encore très excitée sans avoir eu droit à l’orgasme que je retenais déjà depuis le début de cette saillie bestiale … Ma mouille coulait sur mes cuisses.

- Tu es une chienne accueillante. (Après un petit silence à me jauger, l‘homme reprit) On va profiter de toi jusqu’à ce que tu nous supplies d’arrêter chaque jour et ce jusqu’à ce que tu aies gagné les clés de ta liberté, et comme je te l’ai déjà dit, ici je suis seul juge de décider quoi que ce soit…

Suite de la narration par La Maîtresse de Sophie :

Je réfléchis vite car je sentais que pour la suite, cela allait être compliqué : Il restait si on rapportait toutes les clés, dont il parlait, aux cadenas immobilisant Sophie, huit clés à obtenir, si on rajoutait les bracelets aux chevilles et aux poignets cela en faisait deux de plus. La chose ne sera donc pas être aisée. Je gardais ...