1. Retour en Canfre : les familles ennemies


    Datte: 14/06/2021, Catégories: fh, ff, fhh, fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, jouet, init, historique, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... exigeants, des placides. Dans l’ensemble ça se passe bien, même si de temps en temps cela secoue un peu, mais ce n’est pas forcément déplaisant. Ce que j’appréhende le plus, c’est quand ils sont plusieurs.
    — Plusieurs… En même temps ?
    — Oui, en ce cas cela dure plus longtemps et ils ont tendance à la surenchère.
    — Comment cela se passe-t-il ?
    
    Ludivine se dit que son amie se montre bien intéressée par la narration de ses prouesses génésiques. Elle n’aurait jamais imaginé Douceline posant des questions sur ce genre de sujets. Peut-être est-elle moins Sainte Nitouche qu’elle ne le croyait. Eh bien puisqu’elle se passionne pour les histoires de cul, elle va en avoir :
    
    — La première fois que Poitevin a introduit deux hommes en même temps… Poitevin est un domestique au service de mon mari depuis près de quarante ans. C’est lui qui sert de portier pour les rendez-vous galants, alors que mon mari est déjà dans le réduit, sauf pour Gaétan bien sûr. Il garde pour lui l’argent.
    — Quel argent ?
    — Celui que versent les hommes pour me baiser. Il doit d’ailleurs commencer à s’être fait un joli bas de laine. Je disais que la première fois qu’il a fait entrer deux hommes à la fois, j’ai été surprise, Paul ne m’avait pas avertie, mais cela s’est bien passé. Tandis que l’un me sautait, je suçais l’autre, ou je suçais les deux, ou les branlais et autres combinaisons. Ce genre de trio se produit de temps à autre. Or, un jour, ce n’est pas un duo que Poitevin introduisit, mais un ...
    ... quatuor…
    
    Ludivine laisse un temps de silence, mais Douceline ne fait pas de commentaires, elle reprend donc :
    
    — Quand je les ai vus entrer tous quatre, j’en suis restée ébaubie. Ils ont eu tôt fait de me ramener à la réalité. Ils ont commencé par me faire agenouiller et ce n’était pas pour prier. Je les ai sucés alternativement. Un premier m’a prise en levrette, tandis que j’en suçais un allongé et branlais les deux autres et ils ont tourné. Cela a duré. De temps en temps il y en a un déchargeait dans ma bouche ou autour. Puis celui qui était allongé m’a ordonné de venir sur lui. J’ai obtempéré. J’en suçais deux autres et masturbais le quatrième. Ce dernier a fini par renâcler :
    — Nom de Diou ! Si c’est pour être branlé, je le puis faire moi-même. À mon tour, Colin. Mais ledit Colin n’était nullement disposé à abandonner ma chatte. Ce que voyant le bonhomme n’a pas insisté, il a trouvé plus simple de prendre la voie qui était libre.
    — La voie qui était libre ?
    — Là où ce n’était pas occupé.
    
    Voyant l’air d’incompréhension sur le visage de Douceline, elle explicite :
    
    — Dans le derrière.
    — Dans le derrière ? Ce n’est pas possible !
    — Si, c’est possible. Le conduit avait déjà été visité. Heureusement que ce n’était pas une première, car les autres ont voulu tester le passage à leur tour et tous y sont venus et plusieurs fois. Je ne te dis pas comment était mon cul quand ils sont partis. Cela n’a pas empêché mon mari de m’enculer, lui aussi. Tu me diras, un peu plus, un ...