Un paisible dimanche de mai...
Datte: 13/06/2021,
Catégories:
fh,
Oral
69,
policier,
Auteur: Divine, Source: Revebebe
... toutes.
Fred et sa brutalité…
Au départ, le policer m’avait apporté le frisson qui manquait dans ma vie proprette de jeune enseignante. Ce petit coup de folie, c’était son empreinte, tout comme son aspect un peu louche de voyou dopé à la testostérone. Fred exprimait sans cesse une obsession sauvage, presque animale, pour mon corps. Et sans cesse, je lui cédais. Nous avons passé des nuits, des week-ends entiers à baiser comme des malades, meurtrissant nos chairs à force de ne faire plus qu’un. J’aimais quand il me poussait dans mes derniers retranchements, sur le fil du rasoir, tout près de la démence frénétique.
Seulement, je n’avais pas pris toute la mesure de ses instincts aberrants, débridés. Je n’avais pas su négocier le virage de sa violence. Le flic m’avait confondue avec une autre, une fille servile et complaisante que je n’étais pas. Quand j’ai commencé à résister, ça s’est conclu par quatre jours d’interruption de travail et un dépôt de plainte, classé sans suite. Je n’avais pas su dire stop à temps, avant qu’il n’aille trop loin. Alors, je m’étais résolue à ne plus laisser faire. La décision de ne jamais le revoir, je l’avais prise avant même de sortir de clinique.
L’ombre de Fred allait-elle encore planer longtemps sur moi ? Je frissonnai, chassant mes souvenirs comme on s’ébroue d’un mauvais rêve.
Avec Marc, je n’avais pas réussi, à me faire accepter, à balayer les doutes. Quant à Thomas, sa jeunesse me faisait peur, autant pour son immaturité ...
... flagrante que pour son incapacité à se taire, à rester discret sur notre relation.
Sur les trois pourtant, seul l’étudiant semblait « normal », transparent dans ses actions comme dans ses désirs. J’allais juste devoir être prudente pour deux. Prendre garde à ce que rien ne s’ébruite, si j’en avais encore le pouvoir…
Je songeai au petit jeu dans lequel Thomas m’avait entraînée la veille, par appareil photo interposé. Le rouge me monta soudain aux joues. Pour un amateur d’à peine dix-huit ans, Thomas était imaginatif… et plutôt bien équipé. Je le revoyais, tourbillonnant autour du canapé, puis du lit, déplaçant son appareil fixé à un pied, veillant à « shooter » selon les angles les plus chauds. Grâce à une petite télécommande, il avait même réalisé plusieurs photos de nous en pleine action…
Aussi débridée qu’une starlette du porno, j’avais accepté de m’exhiber pour lui, sans une once de pudeur. Je m’étais soumise de bonne grâce à toutes les demandes de mon voyeur, me laissant photographier dans les positions les plus compromettantes.
La première chose à faire, c’était de lui demander d’effacer ces clichés. J’espérais qu’il comprendrait, et ne m’en voudrait pas. Ensuite, et bien… il serait toujours temps de récompenser sa bonne volonté !
Mon café terminé, je me dirigeai vers la salle de bain, quittant en deux trois mouvements le peu que j’avais sur moi. Toute nue, je me glissai dans la pièce d’eau pour me faire couler un bain, en espérant que Thomas reviendrait à ...