1. L'hôtel du bout du monde


    Datte: 12/06/2021, Catégories: fh, fhhh, couplus, extracon, vacances, hotel, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, attache, Humour policier, Auteur: Yuri Netternich, Source: Revebebe

    ... le monde de se séparer et sa femme s’agenouilla à terre pendant que nous nous mîmes en demi-cercle devant elle, son mari entre Diaz et moi. Elle ne perdit pas une seconde et enfourna le membre de son mari dans sa bouche tout en nous branlant Diaz et moi avec vigueur.
    
    De temps en temps elle délaissait son mari pour déposer quelques petits coups de langue sur Diaz ou sur moi avant d’enfourner à nouveau Sanders, mais jamais elle ne faiblissait le rythme et Ricardo se mit à pousser un cri ridicule en arrosant copieusement la poitrine de la maîtresse de maison de longues giclées de sperme qu’elle étala lentement tout en continuant son « travail » sur moi et Sanders. Une fois de plus, je fus épaté par sa capacité à faire plusieurs choses à la fois.
    
    Mais je n’eus pas le temps de m’extasier d’avantage et, dans un râle nettement plus impressionnant que celui de Diaz, je déchargeai à mon tour sous les caresses expertes de la femme et mes giclées de sperme vinrent atterrir sur le ventre et les cuisses de la dame. Libérée de deux de ses amants, elle put alors tranquillement se concentrer sur son mari qui vint lui aussi, à la différence que lui eut la chance d’honorer la bouche de madame qui en laissa échapper quelques gouttes que je vis rouler le long de son menton.
    
    J’avais laissé les trois autres ; les discussions de Diaz avaient tendance à me donner mal à la tête. Je reprenais tranquillement mes esprits à la salle à manger, écoutant distraitement le bruit de la pluie qui ...
    ... ne cessait de tomber. Pour un peu je me serais cru dans un rade minable des bas-fonds de Chicago. Tu parles d’un changement d’atmosphère ; encore un point de moins pour Karen.
    
    C’est alors que je vis Madame Dobbins entrer et se diriger vers moi.
    
    — Excusez-moi Monsieur Booth, puis-je vous déranger un instant ?
    — Si c’est pour une partie de dames, je dois décliner votre invitation…
    — Non, c’est à propos de la nuit dernière. En fait, je viens de me souvenir d’une chose.
    
    Je tendis immédiatement l’oreille, prêt à recueillir toute information utile.
    
    — En fait, je me suis souvenu qu’à un moment, il me semble avoir été réveillée par un grognement.
    — Vous auriez pu m’en parler plus tôt !
    — Vous savez Monsieur Booth, à mon âge, on oublie facilement. De plus, j’étais à moitié endormie… Mais il me semble bien que quelqu’un s’est cogné quelque part dans ma chambre et a étouffé un juron… Vous pensez que c’est important ?
    
    Je préférai ne pas répondre et bondis en direction de l’escalier tout en réfléchissant à la vitesse de la lumière. Le voleur était entré dans la chambre de la vieille dame pendant la nuit, avait cheminé dans la pièce, s’était cogné en râlant, avait finalement trouvé le collier et avait prit la poudre d’escampette. D’après ce que je savais, toutes les chambres étaient agencées de la même manière, et notre voleur devait connaître la disposition des meubles, et pourtant il s’était bêtement cogné. Pourquoi ? Parce qu’il était maladroit bien sûr, et que, ...
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