1. L'hôtel du bout du monde


    Datte: 12/06/2021, Catégories: fh, fhhh, couplus, extracon, vacances, hotel, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, attache, Humour policier, Auteur: Yuri Netternich, Source: Revebebe

    ... semaine de vacances. Il ne restait donc plus que les Kimble et Ricardo. Ce dernier me mettait la puce à l’oreille avec son air prétentieux et son côté Al Pacino dans Scarface, la cicatrice en moins.
    
    J’avais élu domicile dans la salle à manger, pièce centrale dans laquelle tout le monde passait régulièrement. De là, je pouvais tenir tout mon petit monde à l’œil, et la proximité de la bouteille de cognac m’aidait à tenir le coup. C’est ainsi que je vis, dans l’après-midi suivant la découverte du vol, le « beau » Ricardo passer devant moi. Il me lança un grand bonjour mais ne s’arrêta pas et se dirigea vers l’arrière de la salle. Il n’y avait pourtant rien d’autre que les cuisines par là-bas… bizarre !
    
    Je me levai et me dirigeai vers la porte qu’avait empruntée le latino. J’entrouvris discrètement le battant, à l’écoute de tout bruit suspect provenant de la pièce. Et des bruits, il y en avait, ou plutôt des voix.
    
    — Toute cette nourriture sert à couisiner et donc à donner la vie. Les rapports sexouels avec oune femme aussi. C’est amousant ce rapprochement.
    — Oh, Ricardo, quel poète !
    
    Ça, c’était la voix de Suzanna, j’étais formel ! J’avais bien remarqué la façon dont elle regardait Diaz et, de manière générale, la façon dont elle regardait tous les hommes. Cette femme se serait-elle laissé abuser ? Serait-elle complice ? Voilà une idée intéressante à creuser. J’ouvris un peu plus le battant de la porte pour essayer d’apercevoir les deux tourtereaux. Ils se ...
    ... tenaient l’un en face de l’autre derrière le plan de travail de la cuisine, et Suzanna regardait de manière « pétillante » Ricardo. Il n’y avait aucune équivoque entre eux, et Ricardo me donna raison en prenant la femme dans ses bras et en lui roulant un patin digne d’un film porno. Dégoûté, je détournai les yeux : ce type devait être en train de goûter les amygdales de la fille !
    
    Elle se laissa faire sans aucune modération, s’abandonnant totalement au mâle qui possédait son corps. Il arracha plus qu’il n’enleva les vêtements de Suzanna et fit jaillir des petits seins hauts perchés et en apparence très fermes qu’il entreprit de caresser et d’embrasser avec fougue, s’attardant parfois à suçoter les tétons érigés, faisant émettre des plaintes de plaisir à une Suzanna en feu qui remuait de partout sous les caresses de l’homme.
    
    Je ne perdais pas une miette du spectacle, à moitié jaloux, à moitié intéressé. La peau mate de l’homme contrastait admirablement avec l’aspect fin, blanc et délicat de la femme et les deux m’offraient un ballet fougueux et sensuel, un tango d’un érotisme insoutenable. Je croyais d’ailleurs entendre la musique dans ma tête.
    
    Ricardo acheva de déshabiller la donzelle et, bousculant quelques légumes, il l’assit sur le plan de travail sans cesser de lui pétrir le corps et de l’embrasser partout où il le pouvait. J’étais tellement obnubilé par le spectacle que je m’aperçus trop tard que je n’étais plus seul. Je me retournai vivement pour voir Sanders planté ...
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