1. Pour en finir une bonne fois pour toutes avec le sexe (T.1)


    Datte: 15/05/2018, Catégories: délire, Humour articles, Auteur: John Dough, Source: Revebebe

    ... Ness.
    
    — Docteur Ness, conseillez-vous la pratique de la feuille de rose ?
    — Entre nous, cher ami, souhaitez-vous avoir une haleine de chiotte ? Non, n’est-ce pas ? Alors cessez de poser des questions idiotes, voyons !
    
    Pour en finir avec la sodomie.
    
    Ici, nous devons examiner attentivement deux points de vue a priori antagonistes, qui sont – appelons un chat un chat - : celui de l’enculeur et celui de l’enculé.
    
    Franchement, Monsieur, avouez que ça vous fait vachement plaisir d’enfoncer votre zob dans ce trou-là, non ? Avouez… C’est jouissif, quand même !
    
    Et vous, Madame ? Et vous, Mademoiselle ? Avouez-le en toute franchise : ça vous fait plaisir aussi, n’est-ce pas ? Non, pas d’enfoncer votre zob (ou alors vous êtes Brésilienne au Bois) ! Mais qu’on vous en mette un, là… Un gros, par exemple… Un bien tordu qui ramone dans les coins ! Non ?
    
    Et vous, Monsieur (on y vient aussi, fallait pas désespérer) ? Avouez que ça vous fait bander, d’avoir une bite au cul ! Non ? Vraiment pas ? Vous êtes sûr ? Pas même un petit peu ?
    
    Alors, croyez-vous que ça excite les autres ? Ils ont mal, quand même ! Surtout s’ils souffrent d’hémorroïdes ! Et s’ils n’en souffrent pas, ça ne saurait tarder, dans ces conditions.
    
    Mais, quel que soit votre statut, enculeur, enculé ou même les deux en même temps, méditez sur la mésaventure ci-après. Celle que nous a relatée, sous le couvert de l’anonymat – pardonnez le son de sa voix, volontairement trafiqué -, monsieur Marc Hassin, ...
    ... que nous remercions chaleureusement au passage pour son intéressant témoignage.
    
    Ce jour-là, je m’étais rendu chez mon copain – dont je tairai le nom, car il souhaite lui aussi garder l’anonymat – pour un petit après-midi entre mecs. On était tranquilles dans sa chambre, profitant de ce que les autres membres de la famille Vesselle étaient partis en week-end le matin même, et après quelques léchouilles et papouilles, j’avais fini par sodomiser mon copain. Soudain, alors que j’étais bien à fond dans son fond, la porte d’entrée de la maison a claqué, et on a entendu une voix qui criait :
    
    — Olaf, t’es là ?
    — Merde ! s’est exclamé Olaf. Ma sœur !
    
    Olaf s’est instantanément crispé, alors que moi je m’étonnais que sa sœur Aude ne soit pas partie elle aussi en week-end.
    
    — Fous-toi dans la penderie ! m’a jeté rapidement Olaf.
    
    Et il a essayé de se lever pour sortir du lit, pendant que je basculais pour passer de l’autre côté, mais quelque chose m’a retenu !
    
    — M’enfin ! Lâche-moi ! ai-je dit.
    — Retire-toi ! a-t-il répondu, passablement énervé.
    — Mais j’peux pas ! T’es serré !
    
    Sur le coup, j’avais débandé, mais Olaf était tellement crispé que je n’arrivais pas à sortir. Aude a ouvert la porte de la chambre, et quand elle a vu le tableau, elle a gueulé :
    
    — Olaf ! T’es pédé ?
    
    Comme on n’arrivait pas à se dégager, elle est allée chercher un seau de flotte, comme si on était des chiens ! On a fini à l’hosto, Olaf et moi, où on a enfin réussi à nous séparer. Aude ...
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