Flying
Datte: 11/06/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
amour,
Oral
pénétratio,
mélo,
québec,
Auteur: Ed Benelli, Source: Revebebe
... sourire me tue. Et malheureusement, c’est aussi réciproque.
oooOOOooo
Après quelques sorties, seuls ou en groupe, on revient ensemble, un soir de juin. Il fait bon, doux. Depuis qu’on a quitté les autres je n’aspire qu’à poser mes lèvres sur les siennes.
Et puis, elle frôle ma main avec la sienne, se rapproche. On arrête à un feu. Et là, j’ai comme un demi-sourire.
— Quoi ?
Megan me regarde avec un air plus ou moins sûre d’elle. Je crois qu’elle n’attend que ça. Je glisse mes doigts à travers les siens et sur ce coin de rue où il n’y a personne à deux heures du matin, je rapproche mes lèvres des siennes. Elle sourit quand je passe mon bras à sa taille et que je pose mes lèvres sur les siennes. Elle sourit quand je l’embrasse, elle sourit quand je la caresse doucement dans le dos.
Elle passe une main à mon cou et en relâchant mes doigts, vient m’enlacer en se serrant. Et jamais on arrête de s’embrasser, jamais on arrête d’enfin se dire qu’on s’aime. Et tranquillement, je la prends par la taille. Je glisse mes mains dans le creux de ses reins. C’est doux et tendre.
Après un moment, un long moment, elle s’éloigne et me transperce de ses yeux.
— T’en as mis du temps, Rémi. J’en pouvais plus.
On s’enlace et on se serre. Ma vie est merveilleuse. Je la raccompagne chez elle. On s’embrasse encore pendant des heures. Mais patience. Megan grimpe ses marches et passe sa porte en me regardant une dernière fois. Je suis heureux, je me sens gamin et j’ai envie ...
... de sauter partout.
oooOOOooo
Un autre soir, alors que je me prépare à ma soirée avec elle, je me dis que c’est sans doute le grand soir. Je me prends deux ou trois préservatifs que je glisse dans une pochette de mon sac et je pars.
On a passé notre temps à se balader au Vieux-Port, à s’embrasser dans l’herbe et se regarder dans les yeux pour se noyer. En revenant, elle me tire la manche pour que je monte avec elle. Elle me fait visiter son petit chez elle. Sa coloc est partie. À la cuisine, elle passe devant moi pour me servir un verre. Je l’enlace tendrement et lui bécote le cou. Elle glousse et se plaque un peu plus contre moi. Megan se retourne et on s’embrasse encore et encore. En reculant, on bute contre la table de cuisine, je la soulève pour l’asseoir dessus, tandis qu’elle joint ses mains dans mon cou et que je passe les miennes sur ses hanches, en glissant mes doigts sous le tissu pour rencontrer la peau chaude.
— J’ai envie de te dévorer.
— Si tu savais comme je n’attends que ça.
Par-dessus ses vêtements, je caresse son corps et j’embrasse sa poitrine. Je mordille ses seins à travers le vêtement, qu’elle enlève très vite. Je vois apparaître, serrés dans un joli soutien vert, deux beaux seins ronds, dont les pointes percent le tissu. J’empoigne le gauche. Elle soupire, passe ses bras derrière elle pour retirer son soutien-gorge. Je bécote son cou et ses clavicules. Megan caresse mes cheveux en rougissant. Je passe ma langue entre ses seins, remonte le ...