1. Karine en été (1)


    Datte: 11/06/2021, Catégories: Erotique, Auteur: Roberts, Source: Xstory

    ... intensité qu’elle n’aurait pas soupçonnée, au point qu’elle cria. La scène n’avait pas échappé au couple qui s’apprêtait à plonger pour se rafraîchir.
    
    — Eh bien Karine, on fait la voyeuse, on se fait du bien ? lança Julie, hilare. Karine éluda en se baignant à son tour...
    
    A la fin de la journée, elle s’aperçut avec satisfaction que depuis le début de son séjour, son corps avait changé. Son bronzage était désormais uniforme, certes moins prononcé que celui de Julie, mais elle en était très satisfaite. Elle aimait désormais être nue et prendre le soleil sur toute la peau. Elle se sentait presque capable de se montrer sur une plage dans le plus simple appareil, véritable révolution intime. Toutefois, alors que le trio prenait l’apéritif avant le dîner, l’apparition d’un 4x4 au bout du chemin la fit lever par réflexe pour aller chercher son maillot de bain. Julie l’arrêta en lui prenant le bras :
    
    — Hep là, reste ici comme tu es. C’est Charly. Il n’entrera pas s’il ne se met pas à poil et il le sait.
    
    Karine s’assit, un peu contractée. La perspective de se montrer sans voile devant le plombier lui plaisait modérément. Mais quand elle le vit, une fois descendue de sa voiture, baisser son pantalon et enlever son tee-shirt, elle se détendit. Il s’avança sans complexe, son "costume trois-pièces" bien en évidence, qu’il semblait porter comme un trophée.
    
    — Il a des arguments, hein Karine, gloussa Julie.
    
    Karine ressentit une contraction dans son bas-ventre. A force ...
    ... d’avoir vu son couple d’hôtes faire l’amour dans tous les coins de la maison, y compris une heure plus tôt sur la table de la cuisine, elle éprouvait maintenant un profond, un intense besoin de sexe. "Ce type ne partira pas d’ici sans m’avoir baisée" se dit-elle in petto. Elle perçut nettement le regard de braise que le plombier portait sur son corps et il ne dissimula pas un début d’érection.
    
    En définitive, l’affaire fut rondement menée. Après l’apéritif suivi d’un dîner léger, les deux hommes et les deux femmes se retrouvèrent comme souvent sur des nattes au bord de l’étang, à écouter les grenouilles et voir le jour tomber lentement. Ils ne parlaient plus et quand Alain enlaça son épouse dans le but évident de lui faire une nouvelle fois l’amour (c’était la troisième de la journée, calcula Karine), celle-ci et Charly les imitèrent sans barguigner. Elle trouva qu’il embrassait bien et quand sa main eut atteint sa fente, elle écarta résolument les jambes pour faciliter son exploration. Mais ce dont elle avait surtout envie, c’était de sucer. De bouffer la bite à ce type jusqu’à ce qu’il en crie. Elle avait une faim dévorante de luxure, une soif inextinguible de sperme, un furieux besoin d’être pénétrée. Charly comprit tout de suite qu’il aurait affaire à une dévoreuse sous ses airs de sainte nitouche.
    
    En plein 69, Julie, en position supérieure, gardait un œil sur la scène et lâcha :
    
    — Allez Charly, donne-lui du plaisir, elle en meurt d’envie.
    
    Charly aurait bien ...