Karine en été (1)
Datte: 11/06/2021,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Roberts, Source: Xstory
... durant le laps de temps qui précéda, Karine eut tout le loisir d’imaginer les lieux enchanteurs où elle passerait de vraies vacances en compagnie d’un couple sympathique et accueillant. Elle s’acheta un nouveau maillot de bain, un bikini classique qui mettait en valeur sa taille fine. En se regardant dans la glace, elle pensa à son mari qui avait préféré un boudin vulgaire. Elle n’en finissait plus de se demander pourquoi cette femme avait pris l’avantage sur elle. A cause du lit ? C’est vrai que leurs rapports sexuels étaient devenus routiniers et elle-même n’y prenait plus vraiment plaisir. Elle pensait à Julie et son mari qui, à l’évidence, gardaient intacte leur soif l’un de l’autre. Et elle les envia. Peut-être pourrait-elle prendre des leçons au cas où une nouvelle occasion de vivre en couple se présenterait. Ce qui n’était pas sa priorité du moment, loin de là.
Le jour arriva enfin où Karine prit la direction de la maison des beaux-parents de Julie, dans le sud du Massif Central. Pour être isolée, elle l’était. Karine dut emprunter un chemin cahoteux jusqu’à un plan d’eau au milieu d’un écrin d’arbres feuillus. Une maison en bois, genre chalet, était construite au bord. Karine aperçut Julie qui déambulait sur le promenoir, un balai à la main. Entièrement nue, comme elle l’avait dit. Dès qu’elle vit la voiture, elle accourut vers elle, tout sourire. Julie était tout le contraire physique de Karine. Autant celle-ci était mince, élancée, blonde aux cheveux courts et ...
... au teint clair, avec de petits seins haut plantés et des hanches à peine marquées, autant sa collègue était brune de poil et de peau avec une chevelure abondante qu’elle relevait souvent en chignon, des seins lourds, des hanches en amphore et un petit ventre rond qui attestait son goût pour la bonne chère.
Karine remarqua l’abondance des poils de son pubis qui occupaient une bonne partie de son bas-ventre dans une indiscipline un peu sauvage qui la surprit.
— Ah que je suis heureuse de te voir, lui dit l’hôtesse en l’embrassant, je craignais que tu ne te dégonfles.
— Non, du tout, j’avais vraiment envie de venir et je ne le regrette pas. C’est magnifique ici. Quelle beauté, quel calme !
— Oui, c’est vrai, pour être calme, c’est calme, mais on a tout le confort, je te rassure, téléphone, eau, électricité, etc. Les beaux-parents ne sont pas des Robinson. Tiens, voilà Alain.
Karine vit apparaître un homme tout aussi nu, à la haute stature, au crâne rasé, plutôt maigre ce qui l’étonna, car elle le voyait taillé sur le modèle physique tout en rondeurs de Julie. Mais vu de près, ses muscles saillants dénotaient un sportif accompli. Karine essaya de ne pas regarder en dessous de la ceinture de l’homme, mais le peu qu’elle avait vu l’avait édifiée. Elle n’aurait jamais imaginé des organes génitaux masculins aussi développés. Ils ballottaient entre ses jambes à chaque pas. Karine se tint à distance quand il lui fit la bise, de peur d’entrer en contact avec ces plantureux ...