1. Karine en été (1)


    Datte: 11/06/2021, Catégories: Erotique, Auteur: Roberts, Source: Xstory

    ... son amie :
    
    — On ne te gêne pas trop le soir avec nos galipettes ?
    
    — Euh non, tu sais je m’endors vite.
    
    — Bon tant mieux, mais tu sais, si un soir tu veux te joindre à nos jeux, je ne suis pas contre. Alain t’apprécie beaucoup.
    
    Karine se montra très surprise de la proposition :
    
    — Non franchement, ça ne me dit rien, je suis assez traditionaliste sur le sujet, j’aime l’amour à deux, pas à trois ou plus.
    
    — Et deux mecs pour toi toute seule, ça ne te dirait rien non plus ? Allez, sois franche.
    
    — Je ne sais pas, il faudrait des circonstances spéciales et bien connaître les hommes, mais je reconnais que ça doit être agréable.
    
    — Ah oui ça tu peux le dire ! C’est quelque chose qu’on fait de temps en temps avec Alain et un copain. Là, vraiment, je prends mon pied.
    
    — Il me semble que tu le prends aussi avec Alain tout seul...
    
    — Oui bien sûr, c’est un baiseur hors pair. La première fois que j’ai couché avec lui, on n’a pas quitté le plumard pendant 24 heures. Il rechargeait à une vitesse incroyable. On ne s’est plus quitté depuis. Bon, blague à part, tu sais que c’est la fête au village cet après-midi ? Il y a un bal. Cela te dirait de nous accompagner ? On connaît plein de gens sympas.
    
    — Et on y va à poil ?
    
    — Idiote ! Mets une petite robe légère avec rien dessous, ça reviendra au même. En tout cas, c’est ce que je vais faire. De toute façon, je n’ai amené, à part mon maillot, ni slip ni soutien-gorge ici.
    
    Au contact de ses nouveaux amis, Karine ...
    ... ne finissait plus de s’encanailler. Pour la première fois de sa vie, elle sortit en robe d’été sans sous-vêtements. Heureusement, elle était suffisamment opaque pour ne rien révéler, si ce n’est les pointes de ses seins sous l’étoffe légère. Mais la sensation de ses fesses nues sous la robe la mettait dans une disposition érotique inédite. Moulée dans un court fourreau noir au profond décolleté, Julie était un véritable appel au sexe. Pour ne pas dire au viol. Heureusement, la haute stature d’Alain veillait au grain. Celui-ci portait un simple tee-shirt et un jean léger qui moulait tellement ses parties intimes qu’on voyait la tige du sexe se dessiner sous le pantalon, porté visiblement à même la peau. Mais quand les deux femmes apparurent dans la foule du village en fête, tous les regards convergèrent vers elles. Karine se sentit soudain mal à l’aise, comme si elle était vraiment nue, alors que Julie rayonnait :
    
    — Je crois qu’on fait lever quelques queues, lui murmura-t-elle à l’oreille.
    
    Le bal en plein air battait son plein. Julie et Alain dansèrent un rock endiablé qui menaçait à tout moment de révéler les fesses nues de la jeune femme. Un homme invita Karine qui se laissa à son tour emporter par la danse. C’était visiblement un gars du coin, pas un touriste. Ni beau ni laid, avec des mains de travailleur manuel, mais solide et bien bâti, la chemise ouverte sur un poitrail velu. Il dansait bien et Karine accepta d’autres sollicitations jusqu’à ce qu’elle éprouve le ...
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