1. Karine en été (1)


    Datte: 11/06/2021, Catégories: Erotique, Auteur: Roberts, Source: Xstory

    ... attributs. Le couple la fit ensuite visiter les lieux et lui proposèrent d’aller se baigner avant le dîner, ce qu’elle accepta. Elle se présenta sur la petite plage en bikini alors que Julie et Alain batifolaient déjà dans l’eau tiède. Leur gaîté naturelle imprégna tout de suite Karine qui se sentit à l’aise dans cet environnement paisible et bucolique.
    
    Le soir au dîner, Julie avait revêtu un paréo et Alain un simple short ce qui rendit Karine plus à l’aise dans sa robe légère. Le trio regarda le soleil se coucher sur l’eau de l’étang tout en sirotant des boissons fraîches et en parlant. Quand la nuit tomba, chacun alla se coucher. Il y avait longtemps que Karine ne s’était pas mise au lit de si bonne heure. Aussi tardait-elle à trouver le sommeil quand elle entendit des bruits dans la chambre voisine qu’elle identifia aussitôt comme les bruits de l’amour. La mince cloison de bois était un maigre rempart pour préserver l’intimité.
    
    Karine entendit des petits rires, plutôt des gloussements, puis ce qu’elle identifia comme des bruits de succion puis une accentuation sonore très nette faite de grincements de lits, de râles, de grognements suivis d’une interruption courte avant une reprise encore plus audible avec cette fois des phrases parfaitement intelligibles, "viens sur moi" ou "prends-moi comme ça" et surtout un "ah qu’elle est bonne ta bite" venue de la voix grave de Julie qui fit rougir Karine dans son lit, jusqu’à l’explosion finale de cris de plaisir mélangés. ...
    ... Puis se fut le silence. Karine s’endormit longtemps après, profondément troublée. Pour la première fois depuis des lustres, elle fit un rêve érotique dont le protagoniste était un collègue mâle qui lui avait fait du gringue, en vain.
    
    Le lendemain, Karine se présenta au petit-déjeuner alors que Julie et Alain venaient de prendre un bain dans l’étang, d’où ils étaient sortis luisants. Les seins de Julie, en forme de poire, dansaient au gré de ses pas, les pointes érigées, les larges mamelons légèrement relevés, comme un défi. Mais cette fois, Karine prit le temps de regarder à la dérobée la verge pendante d’Alain : "elle mérite bien d’être appelée une queue" se dit-elle. Aucun ne fit allusion aux ébats de la soirée et les deux femmes passèrent leur matinée à préparer la cuisine pour le midi pendant qu’Alain pêchait.
    
    Au déjeuner, le couple n’avait pas cru bon de s’habiller, mais Karine commençait à s’habituer à leur nudité. Elle s’amusait de les voir tous les deux se faire des mamours comme deux tourtereaux, de se lancer des allusions qu’eux seuls pouvaient comprendre. Alain parlait en rigolant à Julie de son "béret basque", ce que Karine finit par identifier comme son pubis fourni. C’était comme s’ils se préparaient, s’échauffaient avant un nouvel accouplement. On en était à servir le dessert que préparait Julie quand Alain se glissa derrière elle et se colla à son dos, queue dressée, Karine l’avait bien vu.
    
    — Arrête, attends un peu qu’on ait fini de manger, gloussa ...
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