1. L'étudiante sodomisée. (2)


    Datte: 11/06/2021, Catégories: Hétéro Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... libido...
    
    — S’il te plaît...
    
    Il baissa son froc et je vis la chose bien sage, ramassée, recouverte du prépuce, petite dans l’épaisse toison. Le désir me reprit. J’y passais la main, je me penchai pour la reprendre dans ma bouche mais il me repoussa délicatement.
    
    — Allez ! Sois sage cousine, tout à l’heure peut-être. Là, vraiment, je peux pas rebander.
    
    — Tu devrais vraiment te raser les couilles, ce serait plus agréable...
    
    — Tu veux vraiment ?
    
    — Oui, mais que les couilles hein, pas le reste !
    
    — OK mais tu t’épiles la chatte.
    
    — C’est d’accord.
    
    — Mais que la chatte, pas le pubis.
    
    Comme je n’avais pas encore de cours à travailler, je choisis de procéder à l’épilation puis je choisis d’aller en reconnaissance jusqu’au sex-shop. Je pris le bus, qui me déposa à une centaine de mètres, passai sur le trottoir d’en face, l’air de rien mais avec la conviction que tout le monde devinait mes pensées. Je rentrai, après quelques courses. Il se mit à pleuvoir un peu.
    
    Je fis à manger et invitai mon cousin à me rejoindre. Je réussis à le convaincre de faire une descente ...
    ... dans la boutique du plaisir, arguant qu’avec la pluie qui tombait, il n’y aurait pas grand monde dans les rues, que le magasin était assez abrité des regards par les voitures qui stationnaient devant et le feuillage encore fourni des arbres qui bordaient l’avenue, et qu’on ne rentrerait que si la rue était déserte. Pour sortir, j’irais en éclaireuse.
    
    Il accepta et suggéra même que je me lave le cul avant d’y aller. De la sorte, on achèterait le gel, on reviendrait et il m’enfilerait sans perdre de temps. Nous convînmes d’y aller pour 23 h 00. Il espérait juste tenir jusque-là sans se branler.
    
    Nous eûmes du mal à trouver une place de parking, tous les bourgeois étant à cette heure dans leurs doux foyers, chacun avec bobonne.
    
    Comme espéré, la rue était déserte et la lueur des réverbères ne parvenait qu’à peine sur la porte de la boutique à cause de l’épaisseur des frondaisons.
    
    Mon cousin s’y engouffra, comme s’il avait peur de rester trop longtemps au vu et au su de tout le monde. Je lui emboîtai le pas, à la fois confuse, presque honteuse, et frétillante d’impatience.
    
    A suivre. 
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