1. L'étudiante sodomisée. (2)


    Datte: 11/06/2021, Catégories: Hétéro Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... vais seule...
    
    — Pas maintenant.
    
    — Pourquoi ?
    
    — On finit d’abord ? Et à la nuit tombée ce sera plus discret.
    
    — OK, mais alors tu viens avec moi. Et tu seras open pour me rebaiser ce soir ?
    
    -. On verra bien, aller amène-moi mon quatre heures. J’ai faim...
    
    Je me rendis à ses raisons, descendis de la table, tournai le dos à mon amant-cousin, pour qu’il me prenne debout par-derrière.
    
    Il trouva la raie d’un coup et s’enfonça brutalement, m’arrachant un cri. Puis il me déboîta en se cramponnant parfois à mes hanches ou en m’attrapant les seins. Il m’attira en arrière pour que je me plie carrément en deux. Il me tirait puis, de temps à autre se dégageait pour me remanger la moule qui dégoulinait.
    
    — J’ai envie de te sucer !
    
    — Attends encore un peu, moi j’ai envie de te troncher. C’est tellement bon. Tu la sens bien ma bite là ?
    
    — Oui, vas-y, plus lentement, que je la sente bien coulisser tout entière, oui, pousse jusqu’aux couilles...
    
    — Tes seins, putain, tes seins, ils sont lourds, gros, doux. C’est trop bon. J’ai encore envie de jouir entre tes seins, j’suis accro à tes seins. Bordel, tes seins, tes seins, tes seins...
    
    — Oh oui, oui, viens, arrose-moi...
    
    — Attends, attends, je suis pas prêt...
    
    — Viens d’abord dans ma bouche.
    
    Il approcha sa queue et je lui broutai les couilles.
    
    — Dommage qu’elles ne soient pas lisses.
    
    Il enfonça son sexe jusqu’à la luette et il me bourra avec énergie comme si cela avait été ma chatte. Je me masturbai ...
    ... pendant que je le pompai et je connus encore le plaisir. L’orgasme déferla. Il me sembla qu’il était encore plus fort que la veille.
    
    Enfin il se retira, juste à temps pour que je puisse me mettre en adoration devant sa verge turgescente. J’aurais voulu qu’il ne la branlât pas pour pouvoir la contempler à loisir, mais il la tenait fermement et l’agitait vigoureusement pour se libérer. Comme il penchait la tête en arrière en râlant, le sperme jaillit et se déversa sur mes seins en quelques jets puissants mais, à ce qu’il me parut, moins abondant tout de même que la veille. Je me demandai alors quelle quantité normale de jute pouvait sortir d’une paire de couilles. Je n’en avais pas la moindre idée. II faudrait que je me renseigne mais, de toute façon, je sus que je trouverais toujours cela insuffisant.
    
    Il s’essuya le gland sur mes lèvres, me barbouillant le menton au passage, puis il fila vers la salle de bain.
    
    Pendant ce temps, je passai mes doigts dans le sperme pour m’en enduire la raie, puis je les suçai et recommençai jusqu’à ce qu’il me parût qu’il n’y en avait plus.
    
    Léon ne revint pas. Il entra dans sa chambre. J’entrai sans frapper.
    
    Il s’était rhabillé et mis à son bureau où il travaillait. Je me collai à lui.
    
    — Dis donc mon gentil cousin, on y va ce soir ?
    
    — Ecoute, j’t’ai dit, mon pote. Et je bosse là. On en reparle tout à l’heure en mangeant.
    
    — D’accord, je te laisse. Tu me montres ta queue ?
    
    — Tu vas rien obtenir là ! J’suis vide, plus de ...