My god ! - Histoires de Sexe

My god !

... garnement.

Le jeu s’était retourné contre moi. Afin de donner le change, j’engageais une ébauche de strip-tease, afin de ménager le suspens et d’exciter un peu plus ces dames qui n’en attendaient pas moins.

Une fois nu, je m’approchai d’Hélène et Christine.

— Je suppose qu’il y en a une pour chacune ?
— Pas mal déduit ! À ta santé ! répondit Christine tout en enlevant délicatement sa petite culotte cependant qu’Hélène n’en était qu’au soutien-gorge.

Il restait un soutien-gorge redresse-seins minimal en cuir noir.

— Il est pour toi, ma chérie ?
— Non, perdu, tu n’as plus qu’à enlever tes chaussettes.
— Alors pour toi, Christine ?
— Eh non, perdu. Mais comme tu n’as plus rien à enlever, je vais, de ce pas enlever la petite culotte de ta copine. Ça ne sortira pas de la famille. Cela ne nous empêchera pas de te réserver une punition spéciale.

Hélène tenta timidement de se débattre. Mais Françoise lui prêta main forte et elle ne put résister longtemps. Voulait-elle d’ailleurs vraiment résister ?

Nous étions donc nus tous les quatre. Mais, le champagne aidant, nous n’étions pas mal à l’aise, bien au contraire et nous éclatâmes de rire en nous regardant à poil.

— Si tu allais nous chercher une nouvelle bouteille de champagne, proposa Françoise à la maîtresse de maison. Pendant ce temps, nous allons penser à la punition de Bernard. Mets donc un DVD porno à Bernard pour lui faire passer le temps, nous allons nous retrouver à la cuisine entre ...

... femmes.

Certes, le film porno sur grand écran me permettait de meubler ma solitude provisoire, mais je me demandais bien à quelle sauce j’allais être mangé.

Je n’eus que quelques minutes à patienter…

La maîtresse de maison revint avec la bouteille de champ réclamée. Elle remplit largement les coupes.

Nous trinquâmes et Françoise se chargea d’annoncer le sort qui m’était réservé.

— Voilà, tu es à nous. Hélène va te bander les yeux, pendant que Christine te lie les mains dans le dos. Il paraît qu’elle est experte en la matière !
— Ah ! Mais ce n’est pas juste, je ne puis me défendre.
— Mais tu dois être puni. Donc, tu es à nous. Maintenant, nous allons t’agenouiller devant le coussin qui est devant la cheminée.

Deux mains m’emmenèrent en effet, les yeux bandés, les mains attachées dans le dos. On me fit m’agenouiller. Une nouvelle coupe de champagne me fut offerte avant que je ne sois plié sur le coussin, ma foi bien confortable, mais le cul bien en évidence…

Deux paires de mains commencèrent à me caresser doucement les fesses, se faisant de plus en plus pressantes, tout en me poussant à écarter les jambes au maximum.

Un liquide froid commença à couler le long de la raie de mes fesses, glissant sur mon anus, puis sur mes bourses. Une main adroite récupéra une partie du liquide qui était descendu sur mes bourses, le remonta autour de mon anus qui fut à nouveau arrosé de ce liquide froid. Un doigt puis deux, bien lubrifiés, pénétrèrent doucement mon anus, de plus en ...