My god ! - Histoires de Sexe

My god !

... d’abord un soutien-gorge en latex noir, à l’évidence pour une forte poitrine, qui ne pouvait donc convenir qu’à Christine et son superbe 95D que j’avais déjà pu apprécier lors d’un week-end à la campagne.

— Bingo, déclara-t-elle, tout en enlevant langoureusement son chemisier, ce qui commença à m’exciter car elle portait un soutien-gorge couleur chair qui lui moulait les seins et laissait apparaître nettement ses gros tétons en érection.

Je proposais à Christine de trinquer et lui proposais la petite culotte noire en latex ouverte.

— Trop facile, jeune homme, mais bon, j’enlève le jean et occupe-toi donc un peu de ta compagne et de Françoise.

À qui pouvait bien être le soutien-gorge ouvert rouge et noir ? Je connais bien les seins d’Hélène. En revanche, je n’ai jamais eu l’occasion de voir les seins de Françoise. Serait-ce la bonne occasion ? Je tentais donc ma chance.

— Françoise, c’est ce que tu as choisi, n’est ce pas ?
— Bravo, oui, le rouge et le noir sont les couleurs favorites de mon copain.

Et Françoise se débarrassa délicatement de son fin pull en mohair sous lequel elle portait un superbe soutien-gorge à balconnets de Barbara.

— Tu en as trop dit, le string rouge et noir est aussi à toi.
— Eh oui ! répondit Françoise qui se leva, laissa négligemment tomber sa jupe et se retrouva en petite culotte et bas noirs autocollants qui lui allaient à merveille.

Jusqu’à présent la chance était avec moi.

Une guêpière très chic attira mon ...

... attention. Je regardais Hélène, me doutant qu’elle s’était rappelé mes envies.

— Tu es sûr de ne pas te tromper ?
— Oui, oui, tu as voulu me faire plaisir.
— Eh bien, c’est raté. Ce n’est pas pour moi. Allez, bois un coup et enlève ton polo.

Me voici torse nu.

— Elle est pour qui cette guêpière ? Pour Françoise ?
— Quel esprit de déduction. Tu as gagné. Que dois-je enlever ?
— Le soutien-gorge, mais d’abord trinquons si tu le veux bien.

Un soutien-gorge noir à franges avec ouvertures dégageant les tétons attira mon attention.

— Alors, Hélène, ma chère Hélène, c’est ce que tu as choisi ?
— Oui, cela ne te plaît pas pour nos soirées coquines ?
— Si, si, bien sûr, tiens, trinquons et tu peux enlever ton chemisier blanc que je t’ai offert pour ton anniversaire. Et, pendant que tu y es, je suppose que ce string en dentelles est pour toi ?
— Raté, mon chéri, allez, enlève ton pantalon, que les copines voient l’effet que te fait ce petit jeu improvisé.

Hélène avait vu juste. Une fois le pantalon enlevé, je ne pus cacher une excitation certaine sous mon caleçon bien moulant.

— Alors le string est pour Christine ?
— Gagné, mon petit coquin. Buvons un coup et je vais être obligé de montrer mes seins. Ce n’est d’ailleurs pas pour te déplaire, n’est ce pas ?

Pas évident, maintenant. À qui pouvaient appartenir les deux jarretières ?

— J’en propose une à Françoise.
— Raté ! La chance n’est pas avec toi. Viens trinquer avec moi et enlève ton caleçon, vilain ...