1. Sexe, mobile et chocolat chaud


    Datte: 10/06/2021, Catégories: f, h, fh, inconnu, gros(ses), grosseins, boitenuit, douche, amour, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme pied, Masturbation intermast, Oral coupfoudr, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... la porte, comme elle l’avait évoqué tout à l’heure. Avant de me faire entrer, elle me met en apnée par un long baiser passionné, pendant que ses mains repartent fébrilement à la découverte de mon corps et de ma virilité.
    
    Son habileté à frôler, à palper, puis à caresser les zones les plus sensibles de mon anatomie démontre une parfaite maîtrise des préliminaires amoureux. Je me laisse faire, enchanté de pouvoir profiter de sa domination sensuelle. Entre ses mains, je me sens comme un jouet érotique vivant, dans lequel elle fait monter la tension et le désir en fonction de ses envies. Après une longue série d’attouchements, elle me pousse dans l’ascenseur, entamant ainsi ouvertement notre montée au septième ciel.
    
    Tout se passe alors très rapidement. Dès que nous arrivons à l’étage où elle habite, elle ouvre sa porte, entre la première dans son appartement et va allumer les lampes du séjour. Nos joutes se passeront donc en pleine lumière. Sans me laisser le temps de la reprendre en mains, elle se débarrasse de sa blouse et de son soutien-gorge, et vient offrir ses seins à mes lèvres impatientes. Je tète ses pointes sensibles, lèche les larges aréoles, rends hommage à pleines mains à ces beautés de la nature. Elle gémit doucement, soupire à chaque frôlement, tend sa poitrine vers moi pour en recevoir encore plus. Sa manière de réagir à chacun de mes gestes m’excite et me donne une furieuse envie de la faire jouir très vite. Je m’agenouille devant elle pour mieux la ...
    ... dépouiller des habits qui m’empêchent d’atteindre son intimité. Elle vient à mon aide en finissant de se déshabiller, puis va s’appuyer contre le dossier d’un sofa, les cuisses largement écartées.
    
    Je tends mes doigts et mes lèvres vers son trésor garni d’une abondante fourrure sombre. Elle guide mes mains, puis, après m’avoir laissé la lécher et la doigter profondément, elle prend ma tête entre ses paumes, pour la placer contre sa chatte trempée, là où elle me suppose capable de lui offrir un plaisir particulièrement raffiné. Je replonge en apnée et me démène comme un beau diable, stimulé par ses parfums intimes.
    
    Enfin, les prémisses d’une première salve font frissonner ses entrailles. Elle pousse un long cri, me suppliant de ne plus arrêter, de lui donner le coup de grâce, à pleine bouche, maintenant ! Joignant le geste à la parole, elle serre mon visage de toutes ses forces contre son bas-ventre. Je ne résiste pas longtemps à ce traitement vigoureux. Asphyxié, je dois me libérer de sa prison de chair pour reprendre mon souffle. D’un brusque mouvement de la tête je m’arrache à son emprise. Court-circuitée à l’instant même où son orgasme allait déferler, elle pousse un grognement de dépit, tout en tentant de replacer mon visage à l’endroit adéquat. Trop tard. La tension est retombée aussi soudainement qu’elle était montée, je n’arriverai plus à transformer l’essai.
    
    Je n’ose pas relever les yeux sur elle, tant je m’attends à une violente remontrance. Quel piètre amant j’ai ...
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