Deuxième nuit - Histoires de Sexe

Deuxième nuit

... fesses également. Je plisse les yeux sur une jolie métisse.

— Qui êtes-vous ? Vous êtes leur esclave ? je tente d’articuler. Je l’ai déjà vu aux alentours du manoir ; je croyais alors qu’elle était des leurs.
— Ha ha ha, rit-elle à pleines dents. Non, je suis leur employée.

Elle me regarde fixer dubitativement sa poitrine transparaissant largement de sa nuisette. Une culotte bouffante, très sexy, complète sa tenue.

— … disons que je suis la bonne à tout faire lorsque ces messieurs-dames sont… différents. Et cela implique quelques concessions. Mais tu sais, je gagne trèèès bien ma vie pour les quelques jours de pleine lune, et je prends mon pied comme personne. T’imagines, non ? Dis-donc, ils ne t’ont pas loupé à l’arrière. Tu es folle, moi je refuse, c’est dans mon contrat. Sauf en cas d’urgence…
— Ils ont un peu oublié de m’en faire signer un, je tente de sourire : que font-ils ? C’est fini ?
— Eh bien, là ils ne pensent plus qu’à manger : rosbif, poulets crus, abats et côtes de bœuf… T’as vu le menu équilibré du cordon bleu ? Mais après, ils aiment bien remettre ça.
— Là, sans moi. Plutôt ils me bouffent aussi. Je ne peux plus, là.
— Ouais, on dirait. Manque d’habitude. Il va pourtant falloir que tu fasses un effort…
— S’il te plaît, aide-moi.
— … Bon, je te propose un deal : je m’occupe d’eux, tu t’occupes un peu de moi ; on m’a bien délaissée ces jours-ci.
— Euh… non, j’ai jamais fait ça… moi.
— Eh bien justement, vive la nouveauté : une petite novice, ...

... ça le ferait bien… T’inquiète, je demande pas grand-chose, ça sera cool…
— Je pourrais être sur le lit ? Je suis brisée…
— Ah non, le lit on évite : ça se salit, ça se déchire surtout. D’ailleurs, laisse-moi t’enlever ces bas.

Les griffures les ont effectivement lacérés. Elle me déshabille entièrement, puis me prend par la main, me soutient lorsque je descends de la table. Elle m’allonge au sol.

— C’est le mieux pour te reposer, et le froid te fera du bien.

Quel froid ? Je suis brûlante, sans doute fiévreuse.

— Allez, laisse-toi aller, dit-elle en retirant ses lingeries.

Je m’allonge tout du long sur le sol. Elle s’accroupit sur mon visage ! Oh, mon Dieu, non, je n’ai jamais fait ça, et n’y tiens pas du tout ! Mais avant que je puisse protester, son sexe entrebâillé est à deux doigts de mon visage ; les créatures l’entourent. Elles sont à nouveau vigoureuses, et se pressent vers la "servante" qui prodigue de nombreux coups de langue. Les membres durs s’enchaînent régulièrement dans sa bouche, elle a indéniablement un talent pour la fellation. Son entrecuisse descend encore : elle ne m’a pas oubliée ; et sa chatte se pose sur ma bouche et mon nez. Moi qui n’ai jamais touché que la mienne ! Le goût et l’odeur me déplaisent, mais la douceur est incomparable, plus encore qu’une bite - humaine - s’entend.

Elle se frotte à moi qui ne fais rien. Je l’entends haleter, cela me motive pour participer à son plaisir. Et puis j’en ai assez d’être manipulée ! Je tente de ...