La bourgeoise et le marabout (26)
Datte: 15/05/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... Je prépare mon plateau puis me dirige vers mon nouveau client. A peine suis-je près de lui qu’il me dit :
— Voulez-vous tirer le rideau ma belle ? Nous serons plus tranquilles.
Je pose mon plateau devant lui puis me retourne pour fermer le rideau de velours et ainsi nous isoler du reste de la salle. La petite lumière tamisée rouge rend l’endroit intime.
L’homme me dit :
— Ne vous retournez pas que je puisse admirer vos superbes fesses.
Je m’exécute et il en profite pour m’attirer à lui afin de bien me malaxer les fesses. Pour l’exciter, je remue les hanches et mime la danse du ventre. J’écarte un peu plus les jambes pour que l’homme puisse deviner par derrière les poils de mon pubis.
Soudain, il me prend par un poignet et m’oblige à me retourner. Je constate alors qu’il s’est débraguetté et se masturbe lentement. Il a une superbe queue et un gland circoncis. Je me mets à genoux devant lui et embouche son membre. Lentement, je commence à le pomper et sa bite grossit rapidement sous ma langue. J’accentue mes mouvements, obligeant son gland à venir buter au fond de mon palais. Le client doit apprécier ma technique, car il avance un peu plus son bassin sur le canapé et son buste s’avachit vers l’arrière. Maintenant, je le suce en lui malaxant les bourses et en lui titillant l’anus d’un doigt inquisiteur. Il faut dire que je dois faire vite pour m’occuper des autres clients. Heureusement, le voici qui se tend, gémit, plaque ses deux mains sur ma main pour ...
... m’obliger à l’engloutir en entier et se vide enfin en longs jets crémeux.
Je me redresse, regarde l’homme droit dans les yeux, avale tout son jus, m’essuie les lèvres avec ma langue, ouvre le rideau et repars vers le comptoir.
Pendant les deux heures qui vont suivre, je vais servir tous les hommes présents dans le bar. Certains se contentent d’une belle fellation qui les soulage après de longues semaines de jeûne et d’abstinence. L’abondance et la consistance des nombreux jets de foutre que j’absorbe témoignent de l’intensité de leur plaisir à se faire ainsi sucer. Par jeux, certains m’obligent à me glisser sous la table pour les sucer. D’autres préfèrent que ce soit aux vues de tous tandis que les plus timides préfèrent que l’on s’isole dans une alcôve.
Les plus pervers, souvent les plus âgés, privilégient la saillie plutôt que la pipe ; cela n’est pas pour me déplaire. Un vieux vicieux m’oblige à m’asseoir sur ses genoux après s’être bien branlé pendant que je suçais son copain de table. Je lui tourne le dos, ses deux mains me saisissent à la taille et lentement, en me guidant, il m’oblige à m’empaler sur sa queue. Tandis que je monte et descends sur sa tige, il me caresse les seins d’une main tout en s’aventurant parfois vers mon pubis pour exciter mon clito. Soudain, il me pince fort la pointe des seins et se vide en moi. Mon orgasme est foudroyant !
Les deux derniers clients à satisfaire, deux jeunes d’une trentaine d’années, m’entraînent dans une alcôve où j’ai ...