La bourgeoise et le marabout (26)
Datte: 15/05/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
Ces derniers jours, je suis restée sage, car ma première expérience de zoophilie avec Stark m’a vraiment épuisée. La jouissance a tellement été violente que mon corps en a gardé des traces pendant toute une semaine et du point de vue psychique, cela m’a également exténuée. Je serais tentée de dire que cette saillie animale m’a calmé les sens pour plusieurs jours. Cependant, une fois la semaine écoulée, j’ai ressenti de nouveau l’envie du plaisir. L’appel du sexe s’est de nouveau fait entendre !
Heureusement, François et son complice Monsieur Coulibadou avaient décidé de ne pas me laisser trop longtemps inactive. Ce vendredi en fin d’après-midi, dès qu’il arrive à la maison, François me dit :
— Chérie, fais-toi belle et désirable, nous sortons prendre un verre ce soir. Monsieur Coulibadou nous invite près de chez lui.
Même si cela m’excite et que j’ai hâte d’y être, je réponds par principe à mon mari
— François, la prochaine fois, essaye de me prévenir un peu à l’avance. Là, j’ai un peu l’impression d’être mise devant le fait accompli et je déteste cela.
Avant qu’il ne réponde quoi que ce soit, je lui tourne le dos et je vais dans la chambre me préparer. Comme il fait beau en cette fin d’après-midi, je décide de jouer le grand jeu et de me faire très sexy.
Il est 20h00 lorsque nous prenons place dans le taxi qui nous transporte de chez nous jusqu’au boulevard Barbès-Rochechouart dans le XVIIIème. La circulation est fluide et il ne nous faut pas plus de quinze ...
... minutes pour accéder à l’Etoile, rejoindre la Place de Clichy et nous faire déposer à proximité du Louxor. Son complice a dû lui donner l’adresse, car François m’entraîne dans quelques petites rues que je ne connais nullement et nous voilà devant un petit café qui ne paye vraiment pas de mine. A peine sommes-nous entrés que nous apercevons maître Coulibadou déjà installé à une table au milieu de l’établissement. Bien que ce ne soit pas très grand, l’endroit est assez sympa, car deux murs sont en fait constitués de petites alcôves, se fermant avec un rideau de velours rouge, avec chacune un petit canapé et un petit guéridon. Je m’assois entre François et mon marabout, ce dernier s’adresse en arabe au patron et quelques minutes plus tard, on nous sert un excellent thé à la menthe.
C’est alors que je remarque que je suis la seule femme dans l’établissement parmi une dizaine d’hommes. Tout en discutant de choses et d’autres, maître Coulibadou pose sa main sur mon genou et remonte doucement jusqu’en haut de mes cuisses. Ce que je porte lui convient parfaitement puisqu’il dit à François tout en plaquant sa main sur ma chatte sous ma jupe.
— Hélène est ravissante et a choisi les dessous appropriés à la situation. C’est parfait !
François lui répond :
— Je ne lui ai rien précisé sur la soirée, mais elle devait se douter de ce qui l’attendait. Elle s’est donc habillée en conséquence comme il se doit !
Monsieur Coulibadou se lève, me prend par la main et m’entraîne vers ...