1. La bourgeoise et le marabout (26)


    Datte: 15/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... le bar. Il échange quelques mots toujours aussi incompréhensibles avec le patron, puis m’entraîne de nouveau vers une petite pièce portant un écriteau « Privé ». Une fois la porte refermée derrière nous, mon marabout me fait retirer mon chemisier, mon soutien-gorge, ma jupe et mon string. Je suis devant lui en porte-jarretelles, bas gris et cuissardes. Il me donne un petit haut transparent que j’enfile ; le fin tissu s’arrête juste sous mes seins, ne cache rien de ma poitrine et de mes tétons déjà tendus, et me laisse le ventre à l’air. Comme je suis sportive et pratique du cardio-training, je n’ai évidemment pas la moindre graisse et mon ventre est parfaitement plat. Il me donne ensuite un petit tablier blanc de serveuse ultra-court que je noue autour ma taille. Puis il me dit :
    
    — Vous avez maintenant la tenue idéale pour assurer le service en salle. Nous avons fêté hier la fin du ramadan et quelques hommes auront certainement envie d’un service de qualité. Je sais pouvoir compter sur vous.
    
    Lorsque nous revenons dans la salle, maître Coulibadou retourne s’asseoir près de François tandis que je me dirige derrière le comptoir pour retrouver le patron qui doit bien avoir cinquante ans. Celui-ci se penche à mon oreille et tout en me caressant ostensiblement les fesses, me dit :
    
    — Mon ami Coulibadou m’avait dit que vous étiez une belle femme, il ne m’a pas menti ! Il m’a également dit que vous étiez une belle salope, j’espère que c’est également vrai !
    
    Et en ...
    ... prononçant ces derniers mots, il me force à écarter davantage les jambes. Sa main s’insinue entre mes cuisses et il glisse doucement l’extrémité de ses doigts dans ma chatte. Je me laisse aller, mes yeux se ferment à moitié et je savoure le léger va-et-vient dans mon intimité. Au bout de quelques instants, il retire sa main, la porte à la hauteur de son visage, respire les effluves qui s’en dégagent et me dit de nouveau à voix basse.
    
    — Oui, vous l’êtes ! Et pour la soirée, vous allez être la bonne petite kahba de mon établissement.
    
    De leurs tables, les consommateurs installés dans la salle voient mon tablier blanc, mais ne peuvent pas deviner que j’ai les fesses à l’air. Ils s’en rendent tous comptent dès que je vais servir du thé à la menthe à trois d’entre eux installés dans le coin le plus éloigné. Tandis que je m’applique à bien servir le thé dans les verres, à l’oriental en le faisant couler de haut, celui à ma droite pose sa main sur mes fesses. Je ne comprends pas ce qu’il dit à ses deux compères, mais il doit être satisfait de mon anatomie, car il s’aventure un peu plus haut jusqu’à mon sillon fessier. Celui qui est à gauche pose sa main sur mon genou et remonte jusqu’à ma chatte. Je fais attention à ne pas renverser de thé, mais ce n’est pas facile, tellement la situation m’excite. Enfin, une fois les trois verres remplis, je peux retourner derrière le comptoir.
    
    Le patron me demande alors d’apporter quelques gâteaux à un homme qui est installé dans l’une des alcôves. ...