1. L'ombre du Passé Ch. 10


    Datte: 08/06/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... deux femmes purent reprendre leurs souffles, secouées de sanglots, elles prenaient pleine conscience de la torture qu'elles venaient de subir, mortifiées d'avoir pris un malsain plaisir dans cet avilissement bestial. Enfin les chiens purent se libérer, Miloud et ses comparses, les forcèrent à pencher la tête au sol, relevant ainsi tout leur ventre, tendant maintenant leur sexes glabres, aux lèvres grandes ouvertes vers le public.
    
    Le gros noir explosait pendant ce temps dans le rectum de Jeannine, alors que Sylvette emmanchée par ses trois orifices, sentait la bite de son gagnant se vider dans son cul, avant qu'il la prête aux copains, récupérant ainsi sa mise.
    
    Aurore et Isabelle, haletantes, les flancs battants accueillaient dans leurs trous largement graissés l'autre équipe, toute aussi avide de leurs charmes.
    
    Un bruit de sabots raclant sur le sol attira l'attention des spectateurs, et sous les yeux horrifiés des deux femmes, deux boucs, la queue traînant entre les jambes, firent leur entrée sous les bravos de la foule ravie.
    
    Arlette sentit les sabots de la bête frotter contre ses flancs, déjà, Miloud enfonçait l'énorme gourdin noirâtre dans son ventre, hurlante de dégoût et de souffrance, elle sentit son ventre se déchirer lors de l'abominable intromission, le hurlement de Milène à ses cotés souligna la synchronisation des immondes empalements.
    
    Le ventre ouvert elles sentirent, au bord de la folie, les sinistres chibres les pourfendre, s'enfonçant avec ...
    ... détermination dans leurs muqueuses, élargissant leurs gaines, les distendant incroyablement.
    
    Les spectateurs voyaient les monstrueux braquemarts envahissant les chattes déformées, le corps secoué de violents soubresauts, la bouche hurlante elles sentirent les bites animalesques s'enfoncer jusqu'au col dans leurs matrices meurtries, les estropiant peut-être à vie, du moins le craignaient elles.
    
    Le coït beaucoup moins spectaculaire des deux bêtes cornues dura longtemps, ils s'éternisaient dans les ventres chauds, agitant leurs reins de lents et amples mouvements.
    
    A chaque poussée elles se sentaient un peu plus défoncées par les immondes chibres qui les bourraient, en pleurs, elles connurent enfin l'ultime outrage, auxquels elles aspiraient cependant.
    
    A gros bouillons les deux boucs déchargèrent leurs flots, l'ignoble semence envahit leurs grottes, les remplissant, les gorgeant de manière inimaginable.
    
    Comme les deux chiens, ils restèrent accolés à leurs croupes, leurs chibres se ratatinant lentement dans les flancs frémissants.
    
    Enfin, ils retirèrent, leurs bourreaux délièrent les liens des deux femmes, et folles de dégoût, épuisées, elles roulèrent au sol, ou elles restèrent, inertes, le corps secoué de tressaillements nerveux alors que les chiens revenaient pour se gorger une dernière fois du sperme débordant de leurs cramouilles béantes.
    
    Les spectateurs quittèrent la salle enchantés du spectacle, Milène et Arlette purent aller s'étendre deux bonnes heures dans ...