1. L'ombre du Passé Ch. 10


    Datte: 08/06/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... son gros gourdin violacé perforer l'anus serré baguant sa hampe d'un bourrelet mauve.
    
    Leurs premiers plaisirs pris, ils changèrent de partenaires, et purent jouir plus calmement des deux belles avilies.
    
    Pendant ce temps, Jeannine et Sylvette les gros chibres de leurs vainqueurs au fond de la gorge ne pouvaient suivre les préparatifs, qu'effondrées, folles d'anxiété, les deux blondes surveillaient.
    
    Deux carcans furent amenés sur scène, Milène et Arlette durent s'agenouiller, passant la tête et les bras dans des trous prévus à cet effet, puis leurs jambes largement écartées furent liées par les chevilles aux bases des tréteaux supportant l'ensemble .
    
    De profil par rapport à la grande salle, leurs croupes blanches, grêlées de peur se faisaient face.
    
    Le nain qui avait si durement enculé Arlette, la semaine précédente, fit le tour de la scène, tenant en laisse deux dogues agités, n'osant croire ce qu'elles pressentaient, les deux femmes sanglotaient, pleurnichaient, conscientes de l'inanité de leurs pleurs.
    
    Miloud lâcha les chiens, qui se ruèrent sur les deux victimes écartelées, insérant leurs truffes chaudes entre les fesses offertes, ils entreprirent de lécher longuement les blessures naturelles.
    
    Les grands coups de langues couraient dans les fentes, imprégnant les babines de ces dames de bave, engluant les anus et les vagins entrouverts de par leurs positions.
    
    Dégoûtées, révulsées de honte, les deux salopes ne pouvaient empêcher leurs croupes ...
    ... d'onduler, les coups de langues frénétiques des deux chiens qui leur astiquaient la moule finissaient par échauffer leurs sens. Ecœurées de leurs veuleries, elles ne pouvaient plus s'empêcher de pousser des gémissements de plaisir.
    
    Enfin, sur un signe de leur maître, les deux chiens arrêtèrent, Miloud, aidé de ses comparses, leur livra leur récompense.
    
    Elles sentirent les chiens escalader leurs croupes, griffant leurs dos, ils se mirent en position, prêts à copuler, la croupe secouée de brefs soubresauts.
    
    Guidés par les mains secourables de leurs aides, les deux chiens battant de la queue contre les fesses féminines, s'immobilisèrent, après avoir frottés longuement les membres durs dans les fentes détrempées.
    
    Les aides remontèrent un peu les chiens, pointèrent leurs membres fins et longs sur les oeillets frissonnants et d'une claque sur les reins invitèrent les chiens à poursuivre.
    
    D'un seul élan les deux bites raides s'engouffrèrent dans les rosettes crispées ; les deux chiens accrochés des griffes aux flancs de leurs partenaires entamèrent leur ignoble coït.
    
    Il dura longtemps, les bites animalesques, s'enfonçaient et sortaient avec violence des rectums asservis sur un rythme élevé.
    
    Enfin mordant les deux femmes aux gras des hanches ils se vidèrent dans leurs flancs frémissant.
    
    Encore secoués de tressaillement, ils restèrent longtemps collé aux culs de leurs victimes, attendant la détumescence qui leur permettraient de s'extraire des rectums contractés.
    
    Les ...