1. Recuerdos de la Alhambra


    Datte: 07/06/2021, Catégories: fh, fplusag, hotel, voyage, amour, revede, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, amourpass, amourcach, prememois, Auteur: Ijokpl, Source: Revebebe

    ... fatiguée. Mais je dirais que… en gardant la chambre… je crois que ce que vous faites est exactement ce qu’il vous faut ! Peut-être que je dirais aussi que je vais dîner avec vous, commandez donc deux bons repas ! On sait ici que je suis un bon mangeur et que j’aime les bonnes choses ! Je vous recommande la queue de taureau ! Un vrai délice !
    — Merci, je vous en serai reconnaissante. Vous êtes un véritable ami !
    
    Un peu plus tard, le lit retapé et après un second séjour dans la salle de bain, attablés, nous mangeons. La queue de taureau est bien un régal ! Onctueuse, une viande presque confite, peut-être cuite dans du vin, savoureuse, fondant sur la langue, enfin presque. Plutôt calorique, probablement, reconstituante. Roborative.
    
    Un Rioja accompagne le repas. Une bouteille de champagne attend, au frais dans son seau.
    
    C’est Byzance !
    
    — J’aime te voir manger comme cela ! Tu fais plaisir à voir ! C’est délicieux, n’est-ce pas ?
    — J’adore ! C’est un repas digne de l’endroit !
    — Je suis toute excitée encore…. Je veux que tu te souviennes de ce repas.
    
    Sans précipitation, elle ouvre son corsage, le retire, le laisse sur le dossier de son fauteuil.
    
    — Je veux réjouir tes yeux !
    
    Sur son corps plutôt brun, son soutien-gorge blanc, bordé de dentelles, découvre légèrement ses seins.
    
    — Un peu plus ?
    
    Je reste sans voix…
    
    Elle dégrafe sa jupe, la retire, décale un peu son fauteuil pour que je puisse "réjouir mes yeux". Je ne me lasse pas de la regarder. Elle ...
    ... remonte son pied sur le fauteuil, offrant à mon regard l’ombre de sa toison sous une légère culotte de dentelles. Elle porte des bas, un porte-jarretelles, elle semble avoir prémédité son coup. Un des ses rêves ?
    
    — Tu veux que je me jette sur toi ?
    — Non ! finissons le repas ! Je veux m’offrir, je veux que tu me désires. J’ai envie de sentir ton désir, qu’il transparaisse dans chacun de tes gestes, de tes regards. J’ai envie de sentir tes regards sur moi, les sentir glisser sur ma peau, sur mes seins, mes bras, entre mes cuisses. Que ton désir excite le mien. Que tu sentes combien j’ai envie de toi. Que tu le voies dans chacun de mes gestes, de mes regards. Quand le repas sera fini, quand nous aurons bu notre café, ouvert le champagne, tu auras tout ce que tu voudras. Je serai ta houri.
    
    Je ne me souviens plus du dessert… Je n’ai sans doute pas regardé beaucoup ce que je mangeais ! Je voudrais en voir davantage. Elle le sait, le sent. Et en joue, se penche en avant au moindre prétexte. Prend son genou entre ses bras pour mieux découvrir cette ombre qui attire sans cesse mon regard.
    
    Le café est un supplice, qu’elle fait traîner en longueur.
    
    Je défais ma chemise, histoire de communiquer mon impatience… Elle me regarde, se sert un second café… elle joue, me regarde, ses yeux ostensiblement parcourent mon buste, la pointe de sa langue légèrement sur sa lèvre supérieure, elle se penche, dégrafe son soutien-gorge, le laisse glisser à terre, se redresse. Sirote son café, ...
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