Coralie et Élodie
Datte: 05/06/2021,
Catégories:
ff,
fff,
portrait,
Auteur: Ortrud, Source: Revebebe
... elle, en déshabillé, elle était heureuse.
Je ne demande jamais d’argent, elles me le donnent, c’est un code.
Bien sûr, il y a des fofolles, ou des perverses, mais il faut juste leur lâcher quelque chose.
Le plus touchant ce sont les vieilles dames : elles ont soin de peindre et d’orner leur visage pour réparer « des ans l’irréparable outrage », aujourd’hui c’est remplacé par des liftings, et ça fait illusion. La chatte, par contre, on ne peut rien faire, quoique si, mais ça manque de charme.
Non, vois-tu, contrairement à ce que je pensais, on ne me demande presque jamais d’utiliser le godemiché, elles ne viennent pas pour ça. Elles viennent surtout s’appuyer sur un corps semblable au leur, ce ne sont pas des lesbiennes.
Si, tiens, j’ai une compagne lesbienne, franchement, elle n’est pas aidée par la nature : une tête au ciseau à bois, pas de seins, des fesses étroites et des épaules en bouteille de Badoit. Elle est gentille, humble, pudique, d’une propreté impressionnante, elle adore me déshabiller, me respirer à mesure, sentir mon linge. Avec elle, j’ai fait un petit voyage en Allemagne, elle était très fière de ma présence, et ne cachait pas du tout notre relation. Je n’ai pas voulu d’argent, elle a tellement dépensé pour le voyage, alors elle m’a envoyé, tiens, cette canne-épée, oui, c’est de l’argent, et la lame est splendide. Tout un symbole. Je crois qu’elle vit avec sa mère dans un rapport sado-maso vaguement incestueux, tu sais genre « La Pianiste », ...
... elle est notaire.
Pour certaines, non, ne rigole pas, c’est presque un service d’urgence. Il faut qu’elles décompressent, bon, tu te rappelles l’histoire d’un certain cardinal qui s’était tapé une crise cardiaque en sortant de chez Mme Claude, je crois, j’ai un personnage de ce style : la présidente d’une association très chrétienne, liée à l’archevêché, Chevalier de Malte, Légion d’Honneur, elle étouffe et ne peut se dégager de rien, elle est circonvenue
Quand elle a besoin de moi, elle m’emmène dans une villa en Normandie. Elle se lâche, une vraie gosse, elle a quatre enfants, tu te rends compte et elle me fait l’amour comme une jeune fille ; ardente, une fois, il a fallu s’arrêter dans un chemin pour lui baisser sa culotte, elle était inondée. Elle a pris ma main, je l’ai masturbée, c’est tout, elle léchait mes doigts comme dans une nouvelle érotique.
Le soir, on a mangé chez elle, elle avait fait livrer un repas traiteur, mais rien à voir avec les Viets qui font tout venir de l’usine de Marseille. Un repas japonais extraordinaire avec du saké tiède, on était pompettes et on a baisé comme des folles, elle a même fait pipi tellement elle avait perdu la tête.
Non, je n’accepte pas la violence, seulement la fessée amoureuse et je n’accepte pas toujours les femmes qui appellent, je préfère les rencontrer avant. Une fois, la femme est venue au rendez-vous avec sa fille, bientôt vingt ans, j’étais angoissée, la jeune fille ne disait pas un mot pendant que sa mère ...