M o n drôle de stage - Histoires de Sexe

M o n drôle de stage

... reculer ? Ma nuit fut des plus terribles.

Le fameux lundi je partis de la maison vers le supposé stage. J’avais peur entre autre qu'on eût idée d’appeler là-bas. De même il était évident que je ne ramènerais pas le sous à chaque fin de mois de ce lieu. Ainsi errais-je jusqu'au soir et incidemment fus-je ramenée comme malgré moi au fameux bouge. Chez mon fieffé tzigane. Une force étrange m'y portât. Il y avait semble-t-il les mêmes habitués que l'autre fois. Sans oser regarder derrière le bar, je vins m’asseoir sur le même tabouret et commandais un Whisky, façon funeste de recommencer et de signifier que je n’avais pas progressé.

Drajic le dénommé affectant un triomphe modeste ne me servit qu'à moitié le Whisky. Il me dit tout bonnement : « Je suis content de te revoir. Si tu veux on va célébrer cela là-bas. J'emporte avec nous la bouteille de Whisky. » En forme de zombie je le suivis. Il était manifeste qu'on savait le sort que j’encourrai avec ce coquin de Drajic. Je baissais la tête en victime expiatoire. L'air du dehors était frais et humide comme l'autre fois. Il me laissa cependant fumer. Tel la dernière cigarette du condamné. Il avait commencé à me caresser. Sa main glissée sous la jupe me palpait les fesses.

Je lui demandais pour cette première fois qu'il n'allumât pas et que nous nous contentions de la lueur de la lune à travers le carreau. Assise au bord du lit et lui devant moi, je le suçais. A ce stade de mon histoire je tiens à préciser que je ne suis ...

... pas une sainte, une ingénue tombée de la dernière pluie. Mon mari ne me touche plus depuis longtemps. Les collègues dont le patron me sautaient régulièrement. Je sais en user avec les hommes et connaît toutes leurs petites faiblesses. Bref Drajic ne fut pas peu étonné de ma maestria. Il ne s'en écriât pas moins : « Tu sais, je m’en doutais !. »

Il affirmât qu'il avait discerné en moi à son premier coup d’œil que j'étais une garce et qui savait y faire au pieu. Pour le reste il fut rude et me baisa sans ménagement. Notamment il m'encula sur la fin sans ménagement. Je savais que chez certains mâles c'était le passage obligé de l'humiliation comme pour marquer leur force et leur territoire. J’étais sa chose et sa pute maintenant. Le protocole fut vitement établi. Je me pointerais dès treize heures. J'aurais droit à déjeuner dans l'arrière-cuisine. Pour la suite dans une salle attenante j’affecterais de faire comme du secrétariat.

Il se trouvât que j'avais du talent pour la paperasse et que je fis au réel la secrétaire pour mon ami Drajic. Je n'en prodiguais pas moins mon principal talent à un client venu pour la chose. Cela se passait dans le mobile-home le plus éloigné. Pour la totale, cela pouvait aller jusqu'à deux cent euros pour deux heures. Le curieux est que ce type de séance eût son succès car j'eus bientôt une kyrielle d'aficionados. Notamment de petits vieux vicelards alentour et pas trop regardant sur la monnaie et qui outre que j'étais une superbe femme, savais y ...