1. M o n drôle de stage


    Datte: 05/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... détestait.
    
    Finalement il était sage de demeurer tranquille ainsi une heure. L'alcool peu à peu se dissipait mais mon malheur revenu avec la lucidité n'en fut que plus majeur. Qu'allais-je faire et dire à mon mari ? « Entrez ! » dis-je quand j'entendis qu'on frappait à la porte. Mon tzigane avait respecté précisément le délai d’une heure. Je fus sensible à une telle ponctualité et attention. Je le concevais maintenant comme un ami ou une sorte de bon samaritain. M'ouvrant encore une fois à lui, je lui demandais : « Que feriez-vous à ma place ? Dois-je dire toute la vérité à mon mari ? » Il me regarda fixement.
    
    D'un ton sentencieux, il me le déconseilla. « Je devine que votre mari est une mauvaise personne. Dire la vérité ajouterait à votre malheur » Je le vis tourner dans la pièce tel un ours en cage. Son regard à présent était des plus curieux. Une idée terrible m'effleurât. Cet homme manifestement me convoitait. J'étais ici à sa merci. Je tirais à présent maladroitement sur ma jupe trop courte et qui pouvait laisser deviner à un regard trop vicieux que je portais des bas. Ma réaction ridicule me compromettait davantage. Son sourire était devenu sardonique me laissant lire clairement son envie.
    
    Il rompit enfin le silence. » Combien vous faut-il ? » Affectant un air stupide je lui signifiais que je ne comprenais pas sa question. Il précisa alors sa pensée. « De combien on rémunère votre stage ? » Je lui répondis : « 1 500 € au mois ». Il sourit. « Ben moi, je vous ...
    ... en offre davantage ». J'étais nerveuse et sur la défensive. Pour moi il était inconcevable qu'il eût pensé pour moi à quelque chose d'aussi ignoble. J'en voulus avoir le cœur net et d'un air de défi je lui demandais : « Vous auriez un emploi pour moi ? » Il me répondit : « Ce serait que l'après-midi durant le temps supposé du stage.
    
    J'eus idée de gifler ce marot. Je lui jetais : « Vous me prenez pour qui ? Je ne suis pas la pauvre fille que vous croyez ! Je saurais m'en sortir autrement ou à défaut dirais-je tout à mon mari » Sur ce je me levais. Il parut surpris de ma sortie et manifestement embarrassé me débitait déjà des excuses. « Je ne voulais vous offenser. J'avais vraiment idée de vous aider. Pardonnez. J'ai de mauvaises manières. Je discerne mal les gens. » Me raccompagnant à ma voiture, il eût temps de me dire que je ressemblais à une femme dont il avait été amoureux dans son pays il y a longtemps. Je démarrais.
    
    J'étais pas peu fière de ma sortie. J'avais remis en place ce freluquet. Cet épisode sordide me faisait à présent sourire. Cependant et à mesure que je me rapprochais du domicile, je me représentais et mon mari et l'ampleur de mon problème. Courageusement décidais-je de tout lui dire. Puis patatras prétextant une fatigue et que j'avais envie d'une bonne douche, je lui lançais à la cantonade : « C'est bon pour le stage, je commence lundi. » Ce gros mensonge sembla tout sceller. On eût dit qu'on refermait sur ma tête la pierre tombale. Comment revenir et ...