Sophie à l'EHPAD (1) - Histoires de Sexe

Sophie à l'EHPAD (1)

... côté-là et la pénétration était redoutable. Il finit par mettre de la vaseline et fit là aussi fit la visite guidée de mon intérieur. Il préconisait des lavements quotidiens avec une solution agrémentée de piment.

Je trouvais la situation cocasse, moi attachée à la poutre par les mains et les poignets, le cul écarté et relevé, un spéculum fiché dans le cul et les quatre reluquant grâce à une lumière, son intérieurl. Mon vagin trempé laissait échapper ma cyprine de fille en chaleur.

L’idée me ravissait et l’orgasme n’était pas loin. Je regrettais juste qu’il n’y ait pas quelqu’un qui fasse des photos pour immortaliser mon complet abandon. Je comprenais bien que mon intellect était aussi puissant que mon physique et que sans l’idée, ma vocation était nulle.

Entre les pans du spéculum, un gode trouva sa place et la masturbation anale fut très profonde. Bien au-delà de ce que je pouvais entrevoir ! Mes ultimes limites étaient mises à contribution. Je sentais ma jouissance qui montait du fin fond de mon être, dans les tréfonds de mes intestins. Je pissai et jouis à la fois, sans aucune retenue. C’était une explosion, en même temps qu’une libération.

Je restais pantelante devant les têtes ébahies des spectateurs de mon total bonheur.

Ils me laissèrent un long moment dont ils profitèrent pour se rafraîchir. J’entendais le bruit des glaçons qui s’entrechoquaient.

Le spéculum et les pinces ôtés, mes chevilles et mes poignets libérés, je me retrouvais à genoux sur la ...

... table.

Maître Lô abusait de ma bouche pendant que Martial s’occupait de m’enfiler par-derrière, la place était faite maintenant. Maîtresse se masturbait en nous regardant, tandis que Gabrielle jouait avec la cravache de Maître Lô sur les parties de mon corps laissées accessibles.

Je recevais deux doses de sperme bien méritées.

Martial avait parlé de son chien et la rencontre qu’il souhaite faire avec moi. Maître Lô me fit mettre à quatre pattes sur le sol et servit de l’eau dans un bol posé devant moi.

Je devais lécher l’eau avec ma langue et non l’aspirer avec ma bouche. Obligation m’était faite de vider le récipient pendant que Gabrielle continuait de me maltraiter avec la cravache. Sûrement une réminiscence de la captivité de ses ancêtres ! Mais j’aimais qu’une femme noire me traite en esclave, des fantasmes de colonisation se faisaient jour dans mon esprit. J’écoutais les conseils que Maître Lô prodiguait à Martial sur la zoophilie et loin de m’effrayer, j’étais excitée.

Je me jurais de regarder sur Internet, la taille du sexe d’un doberman...

Maître Lô encouragea Maîtresse à se faire lécher, car disait-il, la soumission ne doit pas connaître de sexe, ni de genre. Maîtresse s’exécuta et tira sa culotte de côté pour que je puisse y glisser ma langue.

Elle ne tenait pas trop à s’exposer, me semblait-il. Son goût était prononcé, plus que le mien que je connaissais bien à force de lécher mes propres doigts, après m’être masturbée. Elle coulait moins que ...