Sophie à l'EHPAD (1)
Datte: 04/06/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... s’ouvre et mes yeux sont éblouis par la lumière crue qui tombe des projecteurs.
À contre-jour se dessine une silhouette colossale, encore plus massive que celle de Martial.
Gabrielle m’aide à m’extirper de mon refuge inconfortable et je passe mes jambes et mon corps hors du véhicule.
J’ai du mal à me tenir droite avec mes escarpins, j’ai plus l’habitude de porter des crocs ou des sabots d’infirmière à l’EHPAD que des talons hauts. Je reste debout devant l’homme qui s’est approché.
Il arrache d’un geste rapide ce qui me sert de vêtements en faisant passer les pans dans mon dos.
Il préconise une robe fourreau en tissu stretch, sans bretelle et qui permettrait de me mettre nue en moins d’une seconde, très pratique, ajoute-t-il.
— On baisse les yeux, les mains sur la tête, le ventre poussé vers l’avant, bien cambré, les jambes écartées et la bouche entrouverte. On ne t’a donc rien appris ?
Les règles dictées étaient relayées de la main par une cravache pour les chevaux. Je ne répondais pas, Maîtresse ne m’avait pas donné de consigne.
— Quel est son nom ? Il s’adressait à Maîtresse.
— Sophie, mais on l’appelle aussi Tétine à cause de ses tétons très développés.
— Tétine est à oublier, par contre, Sophie est très bien, ça transporte n’importe qui aux malheurs de Sophie et tout le fantasme que ça véhicule. À poil Sophie !
Avec mes mains liées, je ne voyais pas trop comment faire.
Voyant mon incompréhension, l’homme me dit :
— Débrouille-toi ...
... avec ta bouche.
Je tiraillais comme je pouvais pour desserrer le nœud autour de mon cou et me défaire de la corde qui liait mes mains.
— Présente-toi Sophie.
Je commençais à parler, ce qui me valut un coup du plat de la cravache entre mes cuisses grandes ouvertes. Juste sur mon clitoris, pensais-je. Il vise bien !
— La présentation chez une soumise se passe de la façon suivante : Ouverture des lèvres écartelées au maximum que l’on puisse voir l’intérieur de ton vagin et ensuite tu te tournes et présentes, en te tenant sur tes mains au sol, en écartant tes fesses, ta fente vue de dos et ton trou du cul, tout en gardant cette dernière position.
Je m’exécutais avec délectation, jamais autant de personne ne m’avait regardé nue dans cette position, j’étais le centre d’intérêt et j’adorais ça. Pourvu qu’ils se mettent à me caresser ! J’avais envie d’un mandrin dans le vagin. Je me surprenais à me dire « Lô prends-moi, détruis-moi, exige tout de moi, je t’appartiens ».
Maître Lô faisait le tour de mon corps en silence et se pencha pour tester mes tétons.
— Vous les lui étirez ?
Maîtresse parla de mon thélotisme et s’apprêtait à donner quelques explications, mais Maître Lô connaissait et se réjouissait de cette situation exceptionnelle qu’il mettrait à profit.
Il termina par nous faire entrer dans sa maison. Je dois dire que la position dans laquelle je me trouvais commençait à me peser.
La demeure était assez classique avec un grand salon.
À peine ...