-
Sophie à l'EHPAD (1)
Datte: 04/06/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... entrée, j’étais dirigée vers le centre de la pièce et mes mains étaient tirées vers le haut où elles étaient liées à la poutre qui formait la ferme. Maître Lô n’avait pas perdu de temps et arrivait avec des pinces métalliques dans les mains. Les autres faisaient groupe devant moi et Maître Lô posa la première pince sur mon téton déjà bien raide. C’était en fait des pinces de bureau pour relier des feuilles entre elles. La partie plate était très douloureuse, car elle écrasait littéralement le bout de mon sein. Je serrais les dents pour ne pas hurler. J’étais heureuse de m’être retenue de crier, bien que des larmes coulassent de mes yeux, fière d’être si courageuse devant les autres. Mais la seconde était ravageuse et je ne pus retenir une plainte. Maître Lô vérifia ma chatte et porta ses doigts à hauteur de ses yeux — Elle mouille bien, c’est qu’elle a une bonne disposition à la soumission, vous pourrez faire de grandes choses avec elle. J’étais ravie de l’apprendre. Enfin quelqu’un qui entrevoyait ma nature profonde ! Une table avait été apportée devant moi et Martial, mis à contribution, souleva mes jambes et mes fesses pour que je me retrouve en position assise dessus. Maître Lô rendit solidaires mes cuisses, mes poignets et mes chevilles. J’étais en quelque sorte pliée en deux. J’avais du mal à voir ce qui se passait entre mes jambes. — Ses petites lèvres sont minces et bien dessinées en forme de papillon, il faut lui faire faire des photos ...
... rapprochées. Je sentais le spéculum entre mes cuisses à la limite de la rupture tellement elles étaient disjointes. Le froid de l’outil me faisait frissonner. Il l’enfonçait très en avant, bien plus que ne faisait un gynécologue. Il touchait quasiment le fond de mon vagin, tournait la vis d’écartement et mes chairs étaient repoussées de part et d’autre vers les parois de ma grotte. C’était un rien gênant d’être exposée de la sorte devant les quatre personnes. Mais il ne s’arrêta pas en si bon chemin et braqua un spot en direction de mon cul. Il faisait visiter mon intimité à Maîtresse, Gabrielle et Martial, en décrivant chaque endroit et repli de mon vagin. Une sorte d’inventaire de mon sexe. Il avait pour ce faire une très fine baguette en bois et montrait comment je réagissais à chaque fois qu’il piquait ma chair. Il faisait remarquer la couleur extrêmement rose de mon méat urinaire et y insérait la baguette, faisant des allées et retours masturbatoires. C’était divin, complètement inconnu et tellement bon ! Je coulais et c’était en fait cette manifestation de mon envie qui me gênait le plus. Mon visage s’empourpra et maître Lô se moqua de moi. Il n’y a pas besoin de soulever le capuchon de son clitoris tellement celui-ci est bandé et turgescent, dit Maître Lô. Il le titillait et je ne pouvais retenir une plainte de satisfaction. Après que mon vagin fut libéré, ce fut le tour de mon anus d’être dilaté à la limite du supportable. J’étais étroite de ce ...