Sophie à l'EHPAD (1)
Datte: 04/06/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... soumis et/ou soumises ? Le nombre me paraissait trop important.
Etait-ce une date mémorable ? J’avais étudié Giotto et plus précisément la peinture de la chapelle de Padoue réalisée en 1306 où étaient représentés les tourments infligés aux impies.
Sévices, tortures et autres réjouissances religieuses de la représentation de l’Enfer, prémices de l’inquisition espagnole ?
Il y avait aussi « le jardin des délices » de Jérôme Bosch, mais la date ne collait pas.
Je ne savais que penser, mes cours d’histoire ne faisaient que m’embrouiller la tête.
Martial voulait me livrer à son chien et Maîtresse dit que c’était tout à fait normal et l’encouragea à me faire connaître des animaux de toutes sortes.
Les questions fusaient et Maîtresse donnait sa bénédiction à chaque fois. La seule réticence était les piercings et les tatouages.
Rien n’était interdit à mes deux « collègues ». Je devais m’attendre à une vie de satisfaction totalement dédiée au sexe dans la soumission. Gabrielle avait semé en moi l’intérêt en parlant de maître Lô, j’avais hâte de le rencontrer.
Le lendemain soir même, après le repas des petits vieux de mon étage, Martial et Gabrielle m’administrèrent ma douche comme ils aimaient le faire, histoire de pouvoir me tripoter à leur aise et m’habillèrent, devant Maîtresse qui observait la scène et donnait des directives dégradantes.
Pour l’occasion, j’avais droit à une muselière, Gabrielle expliqua que les esclaves femelles en Guadeloupe étaient ...
... ainsi accoutrées quand elles étaient trop bavardes. Une laisse terminait la muselière par laquelle on menait l’esclave noire aux champs de coton et/ou de canne à sucre.
Je me disais qu’ils préparaient quelque chose, mais personne ne m’avait affranchie sur la finalité de la soirée. J’étais anxieuse et c’était diablement bon de ne rien savoir, de réaliser que tout se décidait en dehors de moi.
Une toge noire attachée autour de mon cou, sans manche ni fermeture, ouverte de haute en bas sur le devant, un cordon sur le bas des pans, permettait qu’ils restent grand ouverts. Une paire d’escarpins noirs avec des talons d’au moins 13 ou 14 centimètres terminaient mon accoutrement. C’étaient les seuls vêtements auxquels je pouvais prétendre.
Je compris que l’on allait sortir de l’EHPAD, quand nous nous dirigeâmes vers la voiture de Maîtresse.
Je prenais la direction de la porte arrière, mais c’est dans le coffre que je dus prendre place.
Pour plus de sûreté, Martial me lia les poignets sur le devant pour me maintenir, mais avec interdiction de me masturber. Le coffre était garni de quelques coussins, ce qui me permit de ne pas être cognée partout pendant le trajet. Je m’accrochais à ce que je pouvais. Mon appétit sexuel avait été réveillé par les attouchements lors de la douche, le mélange de peur et d’envie sur ce qui m’attendait, je sentais un peu d’humidité entre mes lèvres.
L’arrivée fut un peu pénible, car la voiture effectua plusieurs manœuvres courtes. Le coffre ...