1. Sophie à l'EHPAD (1)


    Datte: 04/06/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... un orgasme lorsque qu’une vieille femme me grattait le clitoris avec son ongle. Gabrielle se chargea de m’évacuer. Maîtresse laissa entendre que j’avais eu un petit malaise sans gravité, probablement dû à l’émotion de la réussite de la représentation.
    
    — Les artistes sont des êtres sensibles !
    
    J’étais morte de rire, Maîtresse s’y croyait complètement.
    
    Martial me déposa dans la chambre du bureau de Maîtresse. Il avait la bite à l’air et je ne pouvais m’empêcher de l’attraper et de me la coller dans la bouche. S’en suivit une fellation d’enfer où je récupérais son sperme chaud dans la gorge. À son arrivée, Maîtresse n’était pas contente de mon initiative et me promit pour le lendemain une punition exemplaire. Pour l’heure, je remontais à mon étage, les petits vieux n’auraient pas droit à ma visite ce soir.
    
    Le lendemain matin, mon réveil fut idyllique : j’étais sur un petit nuage, je réalisais enfin ce que j’étais réellement : soumise à Maîtresse, toute décision prise en dehors de moi, pur esprit sans poids sur mon corps, entièrement à la marque d’un autre cerveau. J’étais prête à un abandon sans rémission aucune et sans possibilité de retour. Un bonheur, je voulais encore plus de honte, d’obligation, que l’on ne s’occupe pas de me prévenir, de me demander: juste un objet au service de tous !
    
    J’étais obligée de faire les soins aux petits vieux de mon étage, mais c’était aussi de la soumission. Ils profitaient de me caresser sans respect et j’adorais ça.
    
    Les ...
    ... cinq chambres me réservèrent le même accueil : j’étais trempée, mes seins me faisaient ma mais j’étais heureuse. Quand Maîtresse passa l’inspection de mon travail, elle me rudoya et trouva des reproches à me faire sur des erreurs imaginaires. La punition promise risquait d’être formidable. Elle me rabaissa plus bas que terre devant mes patients, j’en mouillais comme une chienne en chaleur.
    
    Dans l’après-midi, Maîtresse m’a convoquée dans son bureau pour me demander de renoncer à ma propre personne et de faire tout ce qu’elle m’ordonnerait. J’acceptais avec enthousiasme. Enfin, on me comprenait !
    
    J’étais bien sûr nue au centre du bureau, agenouillée sur une règle carrée et les mains sur la tête quand elle demanda à Martial et Gabrielle de venir. Elle leur expliqua la situation telle que je la voulais et reconnut à eux deux la liberté de disposer de mon corps comme bon leur semblerait. Ma servitude était complète.
    
    Ils devaient garder le secret sur ma mise en soumission, mais avaient le droit de me faire faire ce qu’ils jugeaient bon, qu’ils soient seuls ou en présence d’autres personnes.
    
    Gabrielle demanda si elle avait le droit de m’emmener à l’extérieur de l’EHPAD, Maîtresse le lui accorda si elle ne dépassait pas les limites du département.
    
    Elle avait dans l’idée de me présenter à maître Lô 1306, grand spécialiste des esclaves et de leur initiation. Il avait la réputation d’être très exigeant comme le rappelait Maîtresse.
    
    Mais pourquoi ce nom ? avait-il 1306 ...
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