1. Sophie à l'EHPAD (1)


    Datte: 04/06/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... suivait les mêmes mouvements que les miens, au grand plaisir des dames.
    
    Le militaire me jetait à terre et posait son javelot sur ma poitrine et son pied sur mon ventre dénudé.
    
    Le clou du spectacle était l’instant où, sur les ordres et détails précis de la reine pharaonne, on posait sur mes tétons bandés et mon pubis, des scarabées vivants couverts de pierres de couleurs, croyance des Égyptiens anciens et des Mayas. — Les bijoux vivants sont encore d’actualité au Mexique.—
    
    Ils étaient collés sur ma peau avec un mélange de dentifrice et de farine (mixture préconisée par Gabrielle). Les minuscules (mais nombreuses) pattes remuaient et me donnaient des frissons.
    
    Les mandibules me pinçaient, car mises sur chacun de mes tétons et sur mon clitoris. Martial avait galéré pour trouver mon bouton d’amour et mettre en place le scarabée dédié à l’entrée de ma grotte.
    
    Je subissais ainsi le questionnement et devais avouer mon crime avant que la cheffe des esclaves fasse claquer son fouet sur les parties de mon corps désignées par le public.
    
    Gabrielle, grosse femme noire, avait une tête de plus que moi et était très à l’aise dans son rôle de bourreau et moi chétive esclave avec mon mètre 55, la victime toute désignée.
    
    Les pensionnaires encourageaient Gabrielle à taper plus fort et plus précisément mes parties sensibles. Chaque participant avait le droit de demander un châtiment que Gabrielle devait m’infliger. Maîtresse veillait à la bonne exécution de la demande. Mon ...
    ... pagne n’était plus qu’un morceau de chiffon qui pendait sur le côté de mes cuisses, laissant libre, l’axe à ma chatte en feu.
    
    Je sur jouais mon rôle, en rajoutais des tonnes dans le genre esclave maltraitée, ce qui plaisait au public. Mais était-ce vraiment un jeu ? Je sentais ma nature profonde se complaire dans cet exercice pervers et j’y trouvais un immense plaisir physique et intellectuel.
    
    À la toute fin du spectacle j’étais allongée sur le sol de l’estrade et Hatshepsout, la reine pharaonne, me transperçait le cœur avec son spectre ‘’Uraeus’’ (cobra en plastique) qui trouvait mon cœur à hauteur de ma chatte ! Les spectateurs étaient au bord de l’hystérie et nous étions tous très applaudis. Les scarabées tombaient au sol et Gabrielle en promenait un sur mon vagin ouvert.
    
    Maîtresse était aux anges et savourait son triomphe. J’étais très excitée d’avoir été quasiment nue durant tout le spectacle, exposée aux ‘‘feux de la rampe’’, mon vagin humide et mon clitoris bandé, réclamaient un orgasme sans tarder.
    
    Maîtresse avait organisé un cocktail où les pensionnaires pouvaient rencontrer les artistes, j’étais très entourée et des mains baladeuses s’occupaient de titiller les endroits où les scarabées avaient laissé des rougeurs. Mes ouvertures naturelles étaient investies. Même Martial se faisait caresser le paquet, deux mémés s’occupaient discrètement de lui sortir la bite et les couilles, pour le tripoter. Tout ceci bien sûr discrètement, le seul bémol c’est que j’eus ...
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