1. Sophie à l'EHPAD (1)


    Datte: 04/06/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... les jambes, ce qui, vu de dos, énervait le groupe en ébullition devant ma porte. Mes tétons roses étaient l’enjeu d’un concours : à qui trouverait l’adjectif le plus juste pour les qualifier. Chacun testant la marchandise avec plus ou moins de rudesse, Parkinson voulait goûter pour se faire une idée juste. Martial tempérait M Roger qui avait tendance à vouloir en faire trop.
    
    Au final, mon déguisement était celui d’une Égyptienne, avec un pagne en tissu blanc sur une culotte blanche, relativement transparent et pour le haut, une brassière ajourée, le tout avec une perruque bleue (il n’y avait pas d’autre couleur). Martial prit une photo avec son smartphone et l’envoya à Maîtresse pour solliciter son avis.
    
    La réponse arriva rapidement : le pagne devait être ouvert sur le devant et pas de culotte. J’ôtais la culotte pour le plus grand plaisir des petits vieux qui, avec la vue plongeante sous moi, étaient en transe.
    
    Martial me faisait faire le tour des deux autres niveaux en passant de chambre en chambre pour rameuter les futurs spectateurs au spectacle, occasion pour tous d’avoir un aperçu de l’actrice en costume.
    
    Nous nous retrouvâmes sur la scène improvisée dans le patio avec Maîtresse en pharaonne avec son Uraeus (cobra), Martial en militaire armé d’un javelot et le bas du corps couvert d’une espèce de slip fait du même tissu que mon pagne et qui lui entourait le ‘‘paquet’’ en le mettant bien en évidence, Gabrielle en cheffe des esclaves avec son mini-fouet et ...
    ... moi en esclave les mains entravées par une corde.
    
    J’avais eu 30 minutes pour apprendre mes quelques répliques. Le scénario était écrit par Maîtresse elle-même, mis en scène par Martial. L’histoire se passait en Egypte sous Hatshepsout, seule reine pharaonne en moins 1500 avant notre ère.
    
    L’esclave que j’étais avait volé les bijoux de la reine pharaonne, j’étais recherchée par le militaire, arrêtée et punie sur les ordres d’ Hatshepsout qui ordonnait à la cheffe des esclaves de m’infliger le châtiment. Le scénario était mince, mais fonctionnait comme une super production hollywoodienne.
    
    De nombreuses phrases empruntées à la littérature étaient citées, donnant une justification historico-intellectuelle au récit. Tout ça pour amener la scène finale de ma punition.
    
    J’étais bien évidemment dans l’impossibilité avec mes mains liées de rassembler les pans de mon pagne. Il restait grand ouvert devant les pensionnaires qui se rinçaient l’œil durant tout le spectacle, en ayant sous le nez ma fente lisse et quelquefois écartée suivant les positions que je devais prendre.
    
    Mes tétines étaient passées par les mailles de ma brassière, elles avaient un volume important à cause de l’irritation due au frottement.
    
    Un des moments forts de la représentation était la poursuite de l’esclave par le militaire. Nous faisions le tour de la salle, les spectateurs se retournaient pour suivre le mouvement.
    
    Mes seins tressautaient à chaque pas, Martial n’était pas mieux loti, son sexe ...
«12...121314...20»