1. Sophie à l'EHPAD (1)


    Datte: 04/06/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... d’abord, il va te laver, tu sens la chienne en chaleur.
    
    Maîtresse défaisait les colliers autour de mes tétons quand Martial arriva.
    
    — Tiens, occupe-toi de les lui retirer et tu la passes au jet, moi je dois faire un saut au second, voir ses petits vieux.
    
    Il coupa les liens en plastique de mes tétons tout en les titillant. J’étais livrée à cet homme qui faisait un moins 40 centimètres de plus que moi et probablement le double de mon poids. J’étais minuscule entre ses mains. Il s’amusa un instant avec mes seins et me retourna pour ôter les entraves de mes poignets. Je me frottais les mains qui étaient ankylosées après tout ce temps à être attachées ensemble. J’étais entièrement nue devant ce géant qui disposait de moi et je pensais que j’avais faim. Parfois, j’avais vraiment de drôles de priorité !
    
    Je lui dis que je voulais manger.
    
    — Tu m’obéis comme si j’étais maîtresse Mireille et tu ne discutes pas, Tétine !
    
    Il sortit son sexe : « Avale ça et après, je te remplis le ventre ».
    
    Il avait un sens de l’humour particulier, mais je me gardais bien de le lui faire remarquer.
    
    Je me retrouvais à genoux devant lui avec sa bite énorme dans la bouche. Les mâchoires me faisaient mal et le fond de ma gorge était ravagé par des coups appuyés provenant de ses reins. J’étais au bord de l’apoplexie quand Maîtresse entra.
    
    Elle fit sortir Martial avec elle de son bureau et ferma la porte. J’entendais qu’il se faisait disputer sévèrement.
    
    Visiblement, le cours des ...
    ... choses reprenait sa marche et Martial m’entraîna à sa suite vers la salle de douche. J’étais nue dans le couloir et nous rencontrâmes une pensionnaire, qui loin d’être étonnée, me donna une tape sur les fesses.
    
    Il me manipulait sans ménagement et me lava lui-même avec le gel douche, insistant sur et dans ma chatte, frotta mon clitoris tellement fort que je jouis dans ses mains. Il ne resta pas de marbre et exigea que je le masturbe. Il ne mit pas longtemps à se répandre dans ma bouche offerte. Son jus d’homme était fade, chaud et gluant, mais je m’en délectais.
    
    — Te voilà nourrie Tétine ! Avale bien ! c’est ta nourriture. Il rigolait tout seul, trouvant sa réflexion drôle.
    
    J’eus le droit de garder ma serviette contre moi pour regagner mon étage, Martial m’accompagnait, il avait un sac à la main qu’il avait récupéré en passant devant la lingerie. Arrivé dans ma chambre et sans tenir compte des petits vieux qui, dans le couloir, me mataient, il me fit rester nue, debout sur un tabouret, en me faisant essayer différents vêtements pour la représentation du soir...
    
    Il faisait durer les moments où je devais enjamber une robe ou une culotte. Les pensionnaires étaient groupés devant la vitre de ma chambre. J’avais honte, mais l’exercice m’excitait, Martial le sentait et devenait mon compagnon de jeu. Mon vagin était à nouveau en feu et coulait sur mes lèvres qui brillaient de cyprine. Les écartements devenaient de plus en plus prononcés. Il me faisait me baisser sans plier ...
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