1. SOUVENIR D'UN AMI


    Datte: 02/06/2021, Catégories: Gay Auteur: Jeannot94, Source: xHamster

    ... geste me demandant d’arrêter en me faisant comprendre qu’il n’en pouvait plus. Amusé et fier de dominer la situation, je lui rendis son sourire et recommença à le déguster. Soudain, la sonnette retentit je lui ai fais signe de ne pas bouger et que j’allais regarder dans l’œil.
    
    C’était Francis. Je le fis rentrer. Il s’amusa de voir Tristan les jambes écartées, bandant comme un cerf.
    
    « Je vois que vous ne m’avez pas attendu. » Dit-il en souriant.
    
    Je lui fis signe de se taire et repris de suite ma fellation. Il serra la main de Tristan et vint me rejoindre sur la moquette. Il me chuchota
    
    « Tu m’en laisse un peu ? »
    
    Nous le suçâmes à deux un instant et Francis entreprit de me déshabiller. Une fois fait, je me suis assis à califourchon sur les jambes de Tristan, face à lui. Légèrement penché en arrière, je branlais nos deux queues collées l’une contre l’autre. Francis se déshabilla à son tour et vint se coller contre mon dos. Je sentais son dard glisser contre ma colonne vertébrale. Il titillait mes pointes de seins et j’avais beaucoup de mal à ne pas exprimer mon contentement.
    
    Enfin, Tristan raccrocha. Il s’excusa au près de Francis et fit glisser sa robe de chambre dans son dos. Puis il me sourit de façon coquine en me disant
    
    « Toi, mon mignon, tu vas payer pour cette douce torture. »
    
    Il passa ses mains sous mes fesses, me souleva et m’emmena ainsi jusqu’au pied du lit.
    
    Là, il m’allongea et monta mes jambes. Il se pencha pour me sucer. Francis, lui, ...
    ... debout près du lit, me tendait sa queue pour que je le suce aussi.
    
    Tristan avait la bouche chaude et prenait ma queue entière et il trouvait encore à me lécher les couilles.
    
    Je n’arrivais pas à en faire autant à Francis, malgré ma bonne volonté. D’ailleurs, je ne suis jamais arrivé à le faire à qui que se soit.
    
    La langue de Tristan frétillait maintenant de mon gland à mon anus. Puis resta un long moment à tourner sur ma pastille.
    
    J’adorais ce petit jeu à trois et c’est un regard plein d’amour que je lançais à Tristan qui se redressait, la bouche encore humide de son baiser anal. Tout se passa très vite. Bien au bord du lit, il n’eut qu’à lever mes jambes sur ses épaules et à pousser son dard en moi.
    
    Quel ne fut pas mon étonnement de ne sentir aucune douleur. Il me pénétra d’un coup, doucement, mais entièrement. Mon excitation était si forte que j’ai du m’ouvrir comme une fleur. Je poussais un cri d’extase.
    
    Je respirais fort et ne pouvais plus qu’offrir ma main à Francis pour le masturber.
    
    Tristan me baisait gentiment, allant et venant en moi en un rythme régulier.
    
    J’eus, je me souviens, une pensé pour Guy qui aurait adoré me sodomiser ainsi.
    
    Je vivais ma première pénétration avec un sentiment de plaisir et d’amour extrême, très fier de ne pas avoir eu besoin de l’aide du tube sur la table de nuit.
    
    Je sentis la queue de Tristan reprendre encore un peu de volume, vibrer en moi. Les coups de reins maintenant très puissants étaient accompagnés de râles ...
«12...5678»