1. SOUVENIR D'UN AMI


    Datte: 02/06/2021, Catégories: Gay Auteur: Jeannot94, Source: xHamster

    ... papier et me fit promettre de l’appeler. Je lui ai serré la main pour lui dire au revoir et furtivement il m’a embrassé le revers de la main. Je fus surpris par ce geste et flatté en même temps.
    
    Cette aventure souterraine a eu pour effet d’augmenter ma libido. Je fantasmais comme un dingue dans mon lit tout les soirs. Je m’imaginais entouré d’hommes en ruts, qui me désiraient, me touchaient, me léchaient. Bien sûr je succombais et me laissais sodomiser à la chaine.
    
    Ces soirées finissaient la plus part du temps dans les toilettes, la queue à la main. A cette époque, je vivais encore chez mes parents.
    
    Un jour, très excité, je me suis rendu au bois en cote de travail. J’avais le feu au ventre et ça augmentait.
    
    Ce jour là, j’avais un peu bu, je le reconnais et je n’étais pas tout à fait dans mon état « normal ». Je voulais plus qu’une simple pipe, je voulais du sexe…plein de sexe.
    
    Je me sentais frustré et isolé dans un paquet d’arbustes fraichement replantés. Là, j’ai craqué, je me suis vidé de toutes ces frustrations accumulées.
    
    J’ai ouvert mon bleu de haut en bas et je l’ai quitté. J’étais nu au milieu du bois, espérant désespérément être surpris et comblé par un éventuel voyeur.
    
    Mais rien !
    
    J’avais la rage, le sentiment d’être abandonné, non compris.
    
    Alcoolisé et énervé, j’ai attrapé une branche dénudée de son écorce et rageusement j’ai essayé de me l’enfoncer dans l’anus en hurlant que si les hommes ne voulaient pas de moi, je me ferais pénétrer ...
    ... par la nature. Imbécile que je suis, je me suis légèrement blessé et ça m’a calmé.
    
    Fort de cette expérience et de la sensation ressentie, j’ai recommencé quelques jours plus tard.
    
    Nu, je me suis allongé sur de la paille au pied d’un arbre. Je ne sais pas ce que faisait cette paille à cet endroit. Peut-être pour protéger les racines de cet arbre qui, venait d’être planté.
    
    Bref ! J’étais allongé et je me masturbais rageusement, maudissant les hommes de ne pas êtres là, à me satisfaire. Quand soudain, une main vint se poser sur mon épaule. J’ai sursauté, car je n’avais ni entendu, ni vu venir ce grand blond de vingt ans taillé comme un athlète de haut niveau. Il avait sa queue à la main. Je pensais qu’il allait me sucer, essayer de toucher mon anus. Mais il ne fut pas si difficile.
    
    Il prit ma nuque dans sa main et glissa sa bite dans ma bouche. Il l’enfonçait si fort que j’avais envi de vomir. Cela a duré cinq minutes et devant son insistance à vouloir me faire engloutir tout son dard d’un coup, j’ai stoppé, prétextant un rendez-vous. Depuis ce jour, je ne me suis plus jamais remis nu dans le bois.
    
    Malgré tout, quelques semaines plus tard, J’y fis une nouvelle conquête. Un homme de cinquante cinq ans. Alerte malgré une jambe qui le faisait un peu boiter, frais, drôle et vert, très vert. Francis.
    
    Ha Francis ! Il savait trouver des endroits dans le bois loin de tout et de tout le monde. Il me suçait d’une façon prodigieuse et rouspétait un peu quand il me faisait ...
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