1. SOUVENIR D'UN AMI


    Datte: 02/06/2021, Catégories: Gay Auteur: Jeannot94, Source: xHamster

    ... sais pas pourquoi, mais j’adorais ça.
    
    Je l’ai revu plusieurs fois. Il m’aimait beaucoup et me le disait. J’aimais bien.
    
    Puis il a disparu.
    
    Je n’avais plus peur d’arpenter les allées du bois en plein jour. Je marchais les mains dans les poches et quand un homme me tentais, je tirais sur le tissus pour ouvrir mon bleu et montrer que ma queue était libre. Puis j’entrais dans le bois.
    
    Je me suis fait plus souvent sucer que moi le faire. Mais quand un type me le demandait, je le faisais volontiers.
    
    Un jour, un type que je suçais, en a appelé un autre qui rodait dans le coin. Je suçais deux bites en même temps pour la première fois.
    
    Un jour que je n’avais qu’un tout petit colis à livrer, mon patron me demanda d’y aller en métro. Certes, j’ai fais la gueule, mais j’ignorais encore que ce désagrément allait devenir un des plus fabuleux souvenir de ma vie.
    
    Le paquet livré, je décidais de ne pas rentrer tout de suite à l’atelier et de trainer un peu dans le métro.
    
    Lorsque qu’un vieil homme vint s’asseoir près de moi. J’ignore d’où il sortait mais il avait dut me repérer et me deviner, car sans attendre et sans hésiter, il colla sa jambe à la mienne. Je pensais qu’il lui fallait ses aises et même si je n’appréciais pas, je ne dis rien.
    
    C’est quand sa jambe commença à glisser le long de la mienne, de haut en bas, et que son pied colla le mien, que je compris que je n’avais pas à faire à un homme sans gène.
    
    La petite chaleur, vous savez ? Celle qui vient au ...
    ... ventre. Et bien elle était là.
    
    Le mouvement de sa jambe ne devait pas être très discret car j’ai du devenir rouge pivoine et dans la vitre, je l’ai vu sourire. J’étais déconcerté, pris de grands frissons électriques à chaque fois que je sentais le bas de mon bleu à ma cheville se soulever quand sa jambe, elle, remontait.
    
    Lorsque son petit doigt toucha mon genou, je me pétrifiais, glacé. Je sentais mes cheveux et mes poils se redresser et…mon sexe enfler.
    
    Pas gêné non plus, le type, qui devant mon manque de réaction, me caressait maintenant le genou de deux doigts, leurs appliquant une forte pression. Puis il me donna deux petits coups de coude avant de se lever pour descendre.
    
    Les portes s’ouvrirent. Il descendit et se plaça derrière le carreau. Voyant que je ne le regardais pas, il s’éloigna.
    
    Et là…il se produisit une chose incroyable.
    
    J’eu juste le temps de sauter du wagon avant la fermeture des portes. Je voyais l’homme s’éloigner.
    
    Paralysé par la timidité, je m’apprêtais à m’asseoir pour attendre le métro suivant, quand le type se retourna. Il s’arrêta, eu un grand sourire en m’apercevant et revint vers moi.
    
    Il me tutoya tout de suite, m’affirmant qu’il était sur que je descendrais du train. Nous nous sommes assis et avons discutés un peu.
    
    Il me questionna sur mes aventures homos, sur ma timidité qu’il avait bien sur remarqué.
    
    Il avait un léger accent de je ne sais ou et me donna son prénom : Tristan. Il griffonna son téléphone sur un bout de ...
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