1. Belle comme la femme d'un autre


    Datte: 14/05/2018, Catégories: fh, jeunes, extracon, Auteur: Terreterre, Source: Revebebe

    ... malaise s’était installé petit à petit. J’ai commencé à regarder Pierre différemment, avec une sorte de rancœur. À l’inverse, Rachel m’était de moins en moins indifférente. Il faut dire qu’elle était plutôt jolie, physiquement : très brune, elle était à moitié Péruvienne. Sa taille était fine ainsi que ses jambes et ses bras. Sa poitrine était presque inexistante, mais elle avait des fesses rebondies et fermes que sertissait parfaitement un corps de sportive. Elle portait une jolie robe d’été rouge qui lui arrivait à mi-cuisses, et des tennis aux pieds.
    
    La soirée s’est poursuivie tard dans la nuit, et les pensées se bousculaient dans ma tête. Je pensais à Rachel ; je la désirais, bien que ne comprenant pas ce sentiment. La copine d’un ami, pour moi, ça relevait de l’inceste.
    
    Lucile et Steven annoncèrent leur départ vers 3 heures du matin ; Rachel se leva pour partir également. Pierre tenta de la convaincre de rester passer la nuit avec lui, vu que ses parents étaient absents, mais elle déclina en disant qu’elle avait une affaire à régler tôt le lendemain matin. Je me levai également et demandai à Rachel – qui possédait un scooter – si elle pouvait me déposer chez moi… je vis immédiatement à la réaction de Pierre que ça le dérangeait, mais Rachel répondit, presque enjouée, que ça ne la dérangeait pas du tout. Avant de partir, Pierre, contrarié, embrassa une dernière fois Rachel de manière ferme, en me regardant très nettement : je crois qu’il voulait marquer son ...
    ... territoire ; ça sembla déplaire à Rachel.
    
    Sur le scooter, j’étais à califourchon à l’arrière ; Rachel me demanda de mettre mes bras autour de sa taille pour m’accrocher. Je ne me fis pas prier et je la saisis au niveau des reins ; le tissu de sa robe était extrêmement fin, et je sentis sur le bas de ses hanches, de part et d’autre, la ficelle de ce qui semblait être un string. Cette sensation m’électrisa et je me demandai d’abord si je n’avais pas mis mes mains trop un peu trop bas, et quelle était la réaction de Rachel, qui ne manifesta rien.
    
    Elle démarra. Nous roulions dans la nuit déserte, caressés par une brise agréable. Après quelques minutes, je ne sais pas vraiment ce qui m’a pris, mais je pris le risque de poser franchement mes mains sur ses cuisses. Mon cœur battait vite. Je n’observai pas de réaction. Mes mains se mirent alors à se mouvoir et à caresser les cuisses de Rachel. Sans vraiment savoir comment, je devinai qu’elle appréciait. Ça dura deux minutes, ou peut être quinze, je ne m’en souviens pas. Je ne m’arrêtai pas, jusqu’à chez moi. Elle coupa le moteur.
    
    — Tu peux enlever ton casque ? demandai-je en retirant le mien.
    
    Elle le fit, et je l’embrassai. Nos langues se rencontrèrent, se tournèrent autour. Elle se retira après quelques secondes.
    
    — Qu’est-ce qu’on fait… Pierre… on ne peut pas.
    — Tu peux venir à l’intérieur pour qu’on en discute ?
    
    Je n’avais pas vraiment l’intention de discuter en l’invitant chez moi ; c’était une tentative désespérée. ...