Les machinations de Laure (2)
Datte: 27/05/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Lewis Lestrange, Source: Xstory
... précipitation, se retourne, me fait face, s’agenouille sur le lit au-dessus de moi, et s’empale sur ma bite avec une sorte de fureur. Ses seins se pressent sur mon torse, et elle me demande tout à trac :
— Tu n’as pas de maladie, au moins ?
— Aucune, rassure-toi.
— Alors baise-moi ! Baise-moi comme une chienne, t’entends ?
Elle monte et descend sur ma bite à un rythme soutenu, celui qui lui convient le mieux, et je la laisse faire, lui demandant :
— Tu veux que je jouisse en toi ?
— Oui !
— Dis-le encore ! Tu veux que je jouisse en toi ?
— Oui, je te dis ! Oui, jouis en moi, jouis dans ta petite salope de petite chienne !
Puis dans un sursaut la voilà qui se cabre, renverse la tête en arrière à l’extrême, poussant vers l’arrière de toute la force de ses cuisses pour propulser ma bite le plus profond qu’elle peut tandis que ses seins, juste devant mon visage, reçoivent l’hommage de ma bouche en feu.
— Maintenant !, crie-t-elle à l’instant même où ma verge saturée de sperme crache la semence et l’inonde.
Quelques minutes plus tard, alors que nous reprenions nos esprits, glissés sous la couette de Laure, elle me demanda :
— Tu ne me poses aucune question ?
— Non. Tu pourrais me mentir.
Elle s’accouda, face à moi.
— Oui. Mais je n’ai pas envie.
— Ah bon.
— Ben non.
Elle attendit, puis reprit :
— Alors ?
— Alors quoi ?
— Tu ne me poses aucune question ?
— Non, je t’ai dit.
Elle éclata de rire, belle à damner un ...
... saint, tonique comme une sauterelle. Elle dit :
— OK. Alors moi, je vais te dire ce que je sais de toi. Mais d’abord, j’ai un truc à faire.
Elle saisit son téléphone et pianota dessus tout en disant :
— Tu t’appelles Franck. Tu as quarante-cinq ans. Tu diriges une agence immobilière.
— Comment sais-tu tout ça, toi ?
Elle me jeta un regard aguicheur sous ses longs cils. Une mèche mauve bordait sa joue droite.
— Tiens donc. Tu me poses des questions, maintenant ?
— OK. Un point pour toi.
— Je t’autorise une question.
— Qui es-tu ?
Elle éclata de rire.
— Dis donc, ça fait plein d’informations à te donner d’un coup, toi ! J’ai dit une question.
— Je n’ai posé qu’une question.
Sa bouche sourit avec malice, et elle répliqua :
— Non, mais, si, en plus, t’es craquant comme ça...
— Ta, ta, ta. Ne noie pas le poisson, tu veux ?
— Ça, ça fait deux questions !
A mon tour, je me mis à rire. Elle m’embrassa. Je lui posai une main sur la hanche, la caressai, remontai jusqu’à son sein. Elle soupira dans ma bouche, attentive. Déjà ma main parcourait son ventre, glissait près du nombril, descendait vers le pubis. Elle remua à peine, refermant ses cuisses et reculant le bassin comme pour se soustraire à ma caresse, mais emprisonnant ma main entre ses cuisses au passage. Mon index effleura son clitoris.
— T’es dingue, dit-elle.
— Réponds-moi.
— Tu me déconcentres, aussi !
— Allez, réponds.
Elle détendit ses cuisses, laissant mon ...