1. Les machinations de Laure (2)


    Datte: 27/05/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Lewis Lestrange, Source: Xstory

    ... commissure de ses lèvres jusqu’à son cou.
    
    Je me penche sur elle pour l’enlacer, et l’embrasser à pleine bouche.
    
    — Je suis pleine de sperme, dit-elle, attends...
    
    — Je m’en fous.
    
    Je l’embrasse. Nos langues se retrouvent avec bonheur mais bientôt l’inconnue se dégage de mon étreinte.
    
    — Prends-moi en photo, s’il-te-plaît.
    
    — Comme ça ? Maintenant ?
    
    — Couverte de ton sperme, oui. Mais laisse-moi prendre la pose, d’abord.
    
    Elle se relève, se redresse, s’accroupit à nouveau sur le lit comme elle était installée au départ. Mon foutre commence à perdre sa viscosité : une goutte glisse entre les poils de la toison. La giclée entre les seins vacille vers le ventre. Quelques gouttes tombées de ses lèvres traînent de la base du cou vers les seins. Elle sourit à l’objectif et me dit :
    
    — Vas-y. Prends-moi en photo. Immortalise-moi.
    
    J’appuie sur le déclencheur alors qu’elle continue :
    
    — Je te conviens ? Je suis assez salope pour toi ?
    
    Je photographie son visage en gros plan, ses yeux suppliants, ses lèvres humides de mon baiser et de quelques gouttes de sperme.
    
    — Ça te suffit ? Tu as eu ton compte ?
    
    La vérité, c’est que je n’ai pas débandé. Je pose le téléphone sur l’oreiller, je saisis la jeune femme par le bras, et je la relève. Elle descend du lit, guidée par ma main, et je le lui fais contourner pour nous retrouver face au grand miroir.
    
    — Bonne idée, dit-elle.
    
    Je m’assieds sur le lit, face au miroir, l’érection bien verticale, et, son ...
    ... dos face à moi, je la dirige. Se penchant vers l’avant, elle empoigne ma verge encore dure, la lèche, l’enfourne dans sa bouche, la nettoie de tout le sperme résiduel, puis se relève et, s’asseyant sur moi, se laisse pénétrer à nouveau.
    
    Ma main droite tâtonne pour récupérer le portable pendant que ma main gauche saisit son sein encore dégoulinant de ma semence. J’appuie frénétiquement sur le déclencheur : la jeune femme monte et descend sur ma bite, face au miroir. Elle ne quitte pas des yeux nos sexes emportés dans une nouvelle union.
    
    — T’es bon, souffle-t-elle à mon adresse. T’es super bon, mec. J’en ai fait défiler, dans ma chatte, tu sais, mais toi, toi, la vache... Ho, vas-y... Vas-y...
    
    Je viens de lâcher le portable et le sein pour plaquer mes mains sur la peau délicieusement veloutée des hanches, et lui imposer mon rythme. Dans le miroir, je vois sa poitrine merveilleuse balancer de droite et de gauche. Elle doit faire du D, ma parole ! Puis mon regard se porte vers le bas. Je regarde la cambrure des reins remonter, révéler le petit cul tout rond, la base de ma bite. J’appuie à nouveau sur les hanches : les fesses s’écrasent contre mon pubis. Je la soulève une nouvelle fois, caresse son clitoris, mordille sa nuque, et dans un dernier appui, m’introduis encore au plus profond de son ventre. Dans le miroir, sa bouche forme un « o », ses yeux étincellent, et je la sens jouir, une fois, deux fois... trois fois.
    
    Elle se dégage de mon étreinte, se relève avec ...
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