Rencontre de M - Histoires de Sexe

Rencontre de M

... petits secrets, elle tentait de s’insérer « sa bouteille ». Le goulot et la moitié du col étaient engloutis mais l’intromission paraissait difficile. Elle s’était allongée sur le dos, ondulant des fesses, elle gagna quelques petits millimètres mais n’arrivait toujours pas à s’enfoncer cette large bouteille.

— Arrête, tu ne vas pas la faire passer, tu vas te faire mal !
— Rien que de me rappeler ce mec dans la boîte, quel bon souvenir. C’était avant qu’on se connaisse. Je dansais avec une copine, on rigolait. Je ne l’avais pas vu arriver derrière moi. Subitement, j’ai senti une main se poser sur mon postérieur, bien à plat, se déplaçant un peu de haut en bas, me frottant. Puis un doigt se glissa entre mes fesses, c’était son majeur. Il le remuait tout en descendant vers mes cuisses, je sentais ses pressions. Sa main s’insinuait un peu plus, je sentais son doigt sur mon anus puis sur ma chatte. La pression s’intensifiait, il essayait de s’introduire dans mon sillon mais mon slip faisait un barrage infranchissable. Lorsque, grâce aux mouvements que je faisais en dansant, ce doigt est venu effleurer mon clito, j’en ai mouillé ma culotte. La copine ne s’était aperçu de rien, ni du pelotage ni de mon plaisir. Nous sommes retournées à notre table nous désaltérer, puis sommes revenues sur la piste. Là, je l’ai vu, le gaillard, s’approcher gentiment, l’air de rien. Il tournait autour de nous au rythme de la musique puis, il est passé deux ou trois fois entre nous, me faisant face ...

... puis, me contournant une nouvelle fois sa main s’est posée à nouveau sur mon cul, il tournait toujours, sa main glissait de mes fesses sur ma hanche puis de ma hanche sur le creux de mon aine… Géraldine ne pouvait rien voir, il me masquait en lui tournant le dos. Quand il fut arrivé en face de moi, il me regarda droit dans les yeux et me prit la chatte à pleine main, la serrant légèrement… C’est aussi légèrement que je lui décochai une monumentale gifle dont il doit encore se souvenir. Sans rien dire, il déguerpit, se tenant la joue. Pour lui, la soirée était terminée. J’expliquais à Géraldine la raison du pourquoi, ne lui faisant état que de la deuxième partie du scénario. Je gardai bien pour moi, la première. Rien que de repenser à ça, je crois bien que je mouille un peu plus. Ça va m’aider pour la bouteille !

Se relevant d’un bond, elle s’accroupit sur la descente de lit, les cuisses largement écartées, elle essaya encore sa tentative. Malgré tous ces efforts, elle n’arriva pas à ses fins. Et c’est dépitée, voire même vexée, qu’elle laissa tomber la bouteille au pied du lit.

— Je me croyais plus large, plus gourmande que ça !
— Et moi, je ne crois pas, j’en suis certain que tout ça m’a donné envie de te faire l’amour. Mon engin, lui, pourra te combler.
— Prétentieux. N’oublie pas que j’ai avalé « coca »… et ta bite, bien que de belle taille, est loin de sa largeur. Mon pauvre, avec toutes ces bêtises, tu vas nager, tu ne sentiras même pas mes parois. Viens, viens ...