Rencontre de M - Histoires de Sexe

Rencontre de M

... ménage, du repas.
— J’ai connu un peu ce genre de relation.
— Ça t’a convenu à ce que je vois, puisque tu es avec moi ! Toi, tu as eu la chance que l’on se rencontre, que j’aime autant faire l’amour, jouir et donner du plaisir mais, ce Monsieur, crois-tu qu’il soit comblé et épanoui ? S’il n’a pas la chance de rencontrer mon équivalent que va-t-il se passer dans sa vie ? Rien, le train-train, la routine, aucun piment pour l’agrémenter. S’il ne se décide pas ou qu’il n’a pas les moyens de payer une pute, eh bien… il peut devenir pédé. Ça, sans pour autant être réellement homosexuel.
— Un point partout, pour être gentil… Tu donnes un peu dans le vrai, cependant crois-tu vraiment que ta Madame, si elle avait mieux su s’occuper de son homme, en le suçant comme tu sais le faire en buvant son sperme ou en le branlant jusqu’à l’éjaculation, en lui offrant son petit « berlingot » à bouffer, en s’offrant plutôt qu’en se laissant prendre, en déclenchant des moments érotiques ou sexuels dans des endroits ou des situations inhabituels, crois-tu, qu’aucun homme bénéficiant d’un tel régime ne deviendrait homosexuel ?
— Tu as dit le mot, ne deviendrait… Les homosexuels le sont dès leur plus tendre enfance. Pour moi, les pédés le deviennent et sont insatiables de cul ! Toi, tu as laissé ta femme pour moi, je pense te combler sexuellement, as-tu envie d’aller voir ailleurs que ce soit une femme ou un homme ? Non ! Et je te promets que tu n’éprouveras jamais le besoin d’aller voir ailleurs ...

... hormis pour des parties fines auxquelles je participerai.
— Intéressant, je retiens ta proposition de parties fines.
— Pour baiser avec une autre femme ou, pour me voir baiser avec quelqu’un d’autre ?
— Je te dirai ça lorsque nous aurons essayé.
— D’accord ! Mais finie la parlotte, tu as ma bouteille à me faire avaler. Fais-moi une petite minette pour me remettre en état, il faut bien ça après une telle conversation !

M’exécutant aussitôt, je plongeai entre ses cuisses. Lapant son mont de vénus, léchant ses grandes lèvres, aspirant les petites, introduisant ma langue à l’entrée de son vagin, titillant sa rondelle privée enfin, j’essayais de me rendre utile, quoi…

— Hou la la, tu vas me rendre folle, mon ventre se liquéfie… Ho, hooou… Je mouille, donne-moi ma bouteille, maintenant. Regarde-moi, je vais me la mettre toute seule. Regarde-moi, ça m’excite de savoir que tu mates ma chatte.
— Je pense que tu aimes t’exhiber tout simplement. Je suis certain que tu serais encore plus excitée de savoir ou de voir qu’un étranger plonge son regard dans ton entrejambe.
— Je ne sais pas, je n’ai jamais fait ça. Je me suis laissée, un peu, tripoter dans le car scolaire en revenant du lycée par un copain ou deux. Je me suis fais mettre la main aux fesses, en boîte, par un mec que je connaissais pas. Je reconnais que j’ai bien eu quelques sensations et puis, bien sûr, il y a eu ce salop de Paul… Mais, jamais, je ne me suis arrangée pour me faire voir.

Tout en me dévoilant ces ...