Rencontre de M - Histoires de Sexe

Rencontre de M

... de boulot. La fleur se fait belle pour aller bosser, pour épater un peu les collègues (féminines parce que les hommes… et puis, elle en a un à la maison)… pour que le Boss soit moins chiant… etc. Sa journée de travail terminée, elle rentre au bercail, se dépêche de se changer pour ne pas abîmer ses belles fringues. Pour être tout à fait à son aise, elle enfile un vieux jogging et une blouse sans forme… Elle se met à frotter, récurer, astiquer, briquer, nettoyer, préparer le repas. La maison doit être impeccable, pour elle, pour son homme ! Et puis, surtout, il ne faut pas que l’on puisse dire d’elle que c’est une souillon.

Si elle ne travaille pas, c’est pareil. En plus, elle aura fait des courses, du shopping, aura discuté une heure avec la voisine, téléphoné à Maman ou à une copine. En résumé, le soir elle est crevée, vidée, ça se comprend !

Quand monsieur rentre, bisou habituel sans plus (le jogging, ça n’invite pas beaucoup). La soupe, la télé (plus ou moins longtemps, plus que moins souvent) et puis au lit. Monsieur est entre les draps en deux minutes. Madame passe à la salle de bain, se démaquille, prépare ses habits du lendemain, un bon quart d’heure s’est écoulé. Quand Madame se couche, bien souvent, Monsieur dort ou presque. S’il n’est pas endormi et qu’il a envie d’un câlin, il tente une caresse, un bisou et s’entend dire fréquemment :

— Pas ce soir, Chéri, je suis fatiguée, ou bien Madame lui tourne le dos en espérant qu’il finisse par s’endormir ou, ...

... dans le pire des cas, elle posera ses fesses contre une bite bien raide et se laissera prendre pour lui faire plaisir, mais sans grand plaisir pour elle qui n’en avait pas envie. Monsieur prend son pied, lui étalant son sperme là où il peut, dans la chatte, sur le ventre ou sur le cul. Lui est satisfait, elle encore plus fatiguée. Chacun se tourne de son côté et s’endort bien vite. Il arrive bien, quelques fois, le dimanche matin, que Monsieur se réveille avec une trique d’enfer et Madame avec l’abricot bien chaud qui la démange sérieusement. Alors, elle s’approche, minaude un peu, se saisit de ce bâton bien raide, le branle gentiment quelques secondes pour le faire durcir encore un peu. Monsieur s’empare des seins dont les pointes sont dressées et durcies par l’envie, les malaxe un peu virilement, sa main descend rapidement jusqu’au pubis piquant et râpeux (Madame se rase la touffe le dimanche soir, pour être nickel la semaine), ses doigts passent dans un sillon humide. Il les enfourne dans un vagin inondé, il la doigte avec index, majeur et annulaire. Elle coule comme une rivière. « Ma Chérie, j’aimerai bien que tu me fasses une petite gâterie. Demande acceptée, elle se met à quatre pattes, le suce un peu, se redresse en disant :
— Il est tard, prends-moi maintenant… j’ai envie. L’affaire est faite en moins de dix minutes :
— Ah mon Chéri… c’était bon… tu m’as bien fait jouir. Le temps de reprendre ses esprits, Madame est sur le pont. Prête à s’occuper du petit déjeuner, du ...