Ouvertures
Datte: 26/05/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
vacances,
plage,
bain,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
préservati,
pénétratio,
init,
confession,
prememois,
Auteur: Caval, Source: Revebebe
... mon index et mon pouce pour me branler le clitoris. Mais là, je ressentais une certaine gêne alors que mon frère était si proche. Je ne souhaitai pas qu’il m’entende m’astiquer sous les draps. Je n’étais pas sans savoir que lui-même le faisait parfois, agitant sa queue jusqu’à l’éjaculation. Je ne l’avais jamais vu faire, mais j’en étais persuadée. Aussi ce premier soir, alors que j’étais certaine de ce qu’il faisait, je lui demandais :
— Tu te branles ?
— Euh… Oui, c’est ça. Tu ne le fais pas toi ?
— Si, mais dans la même chambre que toi, là, ça me gêne un peu.
— Pourquoi, si moi je le fais, je ne vois pas ce qui te dérange. D’ailleurs, ça m’arrangerait si tu le faisais aussi. Comme ça au moins je n’aurais pas besoin d’être discret.
— Tu veux qu’on se branle en même temps ?
— Oui, tu n’as rien contre ?
En fait, il me faisait la proposition que je souhaitais. Ainsi je pourrais me toucher sans crainte d’attirer son attention.
Il rejeta même son drap et se branla ainsi tranquillement devant moi. Je ne pouvais m’empêcher de reluquer sa queue qui grossissait, alors que sa main coulissait dessus. Il s’agitait ainsi sur son sexe jusqu’à ce que son liquide vienne se répandre sur son ventre. Cela m’excitait beaucoup et mes séances de branlette étaient d’autant plus plaisantes. J’atteignis assez rapidement une jouissance souhaitée et libératrice.
Pendant que je me pelotai les nichons, je regardai cette belle queue sur laquelle allait en venait sa main. Je ...
... n’éprouvai aucune gêne, aucun mauvais sentiment à voir le sexe de mon frère s’ériger ainsi. Lui-même me regarda faire, il voyait sa sœur, une main sur les seins, l’autre s’insinuant entre les jambes. Je le voyais souvent sourire durant ces moments emplis de lubricité et hautement érotiques. Nous nous masturbions donc tout les deux, simultanément, dans la même chambre, mais sans faire participer l’autre à sa montée en jouissance, si ce n’est par nos seuls regards. Quand je reluquais sa queue, je n’en avais même pas envie. C’était celle de mon frère, il était très bien monté, mais je n’avais et je n’ai jamais eu d’attirance sexuelle pour lui.
Ces moments furent intenses bien que brefs dans leur durée ; ils ne durèrent en fait que trois nuits, mais restent gravés dans mon esprit bien des années après.
Les jours où nos parents n’étaient pas à la maison, lorsque je me levais le matin, je ne prenais pas la peine de mettre une culotte. Je descendais donc à la cuisine avec une chemise sous laquelle ma chatte et mes fesses étaient forcément apparentes, et même parfois mes petits nichons lorsque je la laissais déboutonnée sur le devant. Mon but n’était pas d’exciter mon frère, mais simplement de me sentir à l’aise ainsi, presque nue, au saut du lit. Cela me permettait aussi de m’habituer à être nue sans faire attention aux attitudes que je devais avoir ou ne pas avoir. Quelle gêne si, sur la plage, on doit se dire : n’écarte pas les jambes ou on verra ton sexe, ne te penche pas en avant ...